La lutte contre la fistule obstétricale constitue un défi pour les acteurs sanitaires. Chaque année, 400 nouveaux cas surviennent au Sénégal avec une prévalence dans les régions de Kolda, Tambacounda, Ziguinchor et Matam. Cette maladie est une communication anormale entre le vagin et la vessie. Elle résulte d’un accouchement prolongé, difficile, sans intervention médicale rapide, entraîne une perte permanente d’urines ou de selles. Elle touche principalement les filles et les femmes vivantes dans les zones enclavées ou l’absence de services médicaux est notoire.
Au Sénégal, on estime à 400 le nombre de nouveaux cas qui surviennent chaque année. La prévalence de la fistule obstétricale este encore élevée dans les régions précitées. Une majorité de cas surviennent quand les filles se marient trop jeunes et contractent des grossesses précoces. Dans la plupart des cas, la stigmatisation pousse les femmes vivant avec la maladie à rester cachées. Dans certaines communautés, elles sont même isolées. Selon Mor Ngom, directeur régional Afrique de de l’ouest de AMREF Health Africa : « L’élimination de la fistule passe par la prévention dans les régions touchées, le traitement des femmes vivant avec la maladie et leur réintégration dans leur communauté »
Au Sénégal, on estime à 400 le nombre de nouveaux cas qui surviennent chaque année. La prévalence de la fistule obstétricale este encore élevée dans les régions précitées. Une majorité de cas surviennent quand les filles se marient trop jeunes et contractent des grossesses précoces. Dans la plupart des cas, la stigmatisation pousse les femmes vivant avec la maladie à rester cachées. Dans certaines communautés, elles sont même isolées. Selon Mor Ngom, directeur régional Afrique de de l’ouest de AMREF Health Africa : « L’élimination de la fistule passe par la prévention dans les régions touchées, le traitement des femmes vivant avec la maladie et leur réintégration dans leur communauté »