Le président de la République Macky Sall a, lors du dernier Conseil des ministres, rappelé au Gouvernement la nécessité de mettre en place un fonds d'appui aux entreprises de presse. Le Syndicat des Professionnels de l'information et de la Communication du Sénégal (synpics) a, dans un communiqué parvenu à PressAfrik, salué cette mesure instruite par le Chef de l'État. Avant de mettre en garde sur le modèle que va constituer ce fonds.
Selon le Bureau exécutif national dudit syndicat "Cette demande du Chef de l'État réaffirme "son attachement au développement de la presse nationale, arrive à son heure dans le processus entamé depuis 2017 par notre pays pour se doter d'une nouvelle Loi portant Code de la Presse".
Le Synpics pense que par ce geste, "le Président de la République qui avait déjà instruit ses ministres du Travail et de la Communication de lui proposer les projets de décret d'application de la Loi portant Code de la presse le 1er mai dernier, fait un grand pas en direction de la satisfaction des revendications portées par le Synpics lors de la fête du travail".
Le Synpics rappelle que "le fonds d'appui au développement des médias est en effet un axe essentiel, aux côtés de la commission nationale de la Carte de presse, de la nouvelle réglementation qui vise le renouveau des médias locaux et leur pérennité économique".
Toutefois, le syndicats a mis au goût du jour les autres préoccupations du monde des médias. A savoir: la signature des décrets d'application; l'implication des organisations des médias dans l'administration de la Maison de la Presse; la nomination d'un PCA à la tête de celle-ci; l'application de la nouvelle convention; et surtout le respect des obligations sociales par les promoteurs et patrons de presse.
Aussi, le Synpics rappelle que "le Fonds d'appui au développement de la presse ne doit en aucune manière constituer une prolongation de l'Aide à la Presse, en ce que cette dernière constituait une source d'enrichissement personnel pour certains propriétaires de médias au Sénégal au détriment des travailleurs".
Pour conclure, "le Synpics qui espère prendre part activement aux orientations structurelles de mise en place de ce Fonds ainsi qu'à son administration future enjoint les services de l'État compétent à faire de sa réalisation un exemple du mode "Fast-Track" décliné comme méthode de nouvelle gouvernance".
Selon le Bureau exécutif national dudit syndicat "Cette demande du Chef de l'État réaffirme "son attachement au développement de la presse nationale, arrive à son heure dans le processus entamé depuis 2017 par notre pays pour se doter d'une nouvelle Loi portant Code de la Presse".
Le Synpics pense que par ce geste, "le Président de la République qui avait déjà instruit ses ministres du Travail et de la Communication de lui proposer les projets de décret d'application de la Loi portant Code de la presse le 1er mai dernier, fait un grand pas en direction de la satisfaction des revendications portées par le Synpics lors de la fête du travail".
Le Synpics rappelle que "le fonds d'appui au développement des médias est en effet un axe essentiel, aux côtés de la commission nationale de la Carte de presse, de la nouvelle réglementation qui vise le renouveau des médias locaux et leur pérennité économique".
Toutefois, le syndicats a mis au goût du jour les autres préoccupations du monde des médias. A savoir: la signature des décrets d'application; l'implication des organisations des médias dans l'administration de la Maison de la Presse; la nomination d'un PCA à la tête de celle-ci; l'application de la nouvelle convention; et surtout le respect des obligations sociales par les promoteurs et patrons de presse.
Aussi, le Synpics rappelle que "le Fonds d'appui au développement de la presse ne doit en aucune manière constituer une prolongation de l'Aide à la Presse, en ce que cette dernière constituait une source d'enrichissement personnel pour certains propriétaires de médias au Sénégal au détriment des travailleurs".
Pour conclure, "le Synpics qui espère prendre part activement aux orientations structurelles de mise en place de ce Fonds ainsi qu'à son administration future enjoint les services de l'État compétent à faire de sa réalisation un exemple du mode "Fast-Track" décliné comme méthode de nouvelle gouvernance".