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Raymond Domenech avait beau avoir une nouvelle fois bouleversé son système tactique pour ce deuxième match de poule face au Mexique, il n’y a pas eu de révolution dans le jeu et encore moins dans le résultat. Face à une formation mexicaine qui s’est régalée devant la fragilité défensive française et a repoussé sans mal les rares attaques tricolores.
Le recentrage de Ribéry et le positionnement à gauche de Malouda ont donné pendant les premières minutes l’illusion que les choses pourraient changer, mais il n’en fut rien pendant 45 premières minutes bien inquiétantes. Avec leur jeu léché et utilisant toute la largeur du terrain, ce sont les Mexicains qui se sont montrés les plus dangereux, avec plusieurs frappes hors cadres de Vela (9e) et Salcido (18e), régulièrement oublié par Govou. Lloris devait même s’employer pour détourner un tir en force mais sans angle de ce même Salcido (27e). De l’autre coté, les Français bénéficiaient de plusieurs coup-francs intéressants, mais tous tirés dans le mur ou largement hors du cadre. La défense tricolore montrait quelques signes inquiétants de fébrilité, tandis que l’animation offensive était réduite à néant ou presque, avec un Anelka une nouvelle fois perdu en avant-centre.
En dépit de la rentrée de Gignac, la donne ne changeait rien, et les signes de faiblesse de la défense française finissaient inévitablement par découler sur un but. Sur une ouverture, Hernandez partait à l’extrême limite du hors-jeu pour s’en aller tout seul dribbler Lloris et marquer (0-1, 64e). Domenech réagissait en faisant sortir Govou pour Valbuena, mais sur le terrain, aucune réaction n’était visible. Bien au contraire, le Mexique continuait d’attaquer, et sur une accélération, Barrera semait Malouda et se faisait inutilement fauché par Abidal pour un pénalty que Blanco transformait sans trembler (0-2, 79e). La messe était dite pour le résultat final, et ce deuxième plombait encore un peu plus les maigres chances de continuer l’aventure.
Avec un seul point, il faudrait désormais aux Tricolores une large victoire face à l’Afrique du Sud (quatre buts ne seraient pas de refus) et espérer qu’il n’y ait pas match nul entre l’Uruguay et le Mexique. Mais d’une, il semble difficile d’imaginer les Bleus empiler les buts lors du dernier match, et surtout, le Mexique et l’Uruguay savent bien qu’ils seront tous deux qualifiés en cas de match nul. Dans ces conditions, les Bleus peuvent déjà préparer leurs bagages.
Le recentrage de Ribéry et le positionnement à gauche de Malouda ont donné pendant les premières minutes l’illusion que les choses pourraient changer, mais il n’en fut rien pendant 45 premières minutes bien inquiétantes. Avec leur jeu léché et utilisant toute la largeur du terrain, ce sont les Mexicains qui se sont montrés les plus dangereux, avec plusieurs frappes hors cadres de Vela (9e) et Salcido (18e), régulièrement oublié par Govou. Lloris devait même s’employer pour détourner un tir en force mais sans angle de ce même Salcido (27e). De l’autre coté, les Français bénéficiaient de plusieurs coup-francs intéressants, mais tous tirés dans le mur ou largement hors du cadre. La défense tricolore montrait quelques signes inquiétants de fébrilité, tandis que l’animation offensive était réduite à néant ou presque, avec un Anelka une nouvelle fois perdu en avant-centre.
En dépit de la rentrée de Gignac, la donne ne changeait rien, et les signes de faiblesse de la défense française finissaient inévitablement par découler sur un but. Sur une ouverture, Hernandez partait à l’extrême limite du hors-jeu pour s’en aller tout seul dribbler Lloris et marquer (0-1, 64e). Domenech réagissait en faisant sortir Govou pour Valbuena, mais sur le terrain, aucune réaction n’était visible. Bien au contraire, le Mexique continuait d’attaquer, et sur une accélération, Barrera semait Malouda et se faisait inutilement fauché par Abidal pour un pénalty que Blanco transformait sans trembler (0-2, 79e). La messe était dite pour le résultat final, et ce deuxième plombait encore un peu plus les maigres chances de continuer l’aventure.
Avec un seul point, il faudrait désormais aux Tricolores une large victoire face à l’Afrique du Sud (quatre buts ne seraient pas de refus) et espérer qu’il n’y ait pas match nul entre l’Uruguay et le Mexique. Mais d’une, il semble difficile d’imaginer les Bleus empiler les buts lors du dernier match, et surtout, le Mexique et l’Uruguay savent bien qu’ils seront tous deux qualifiés en cas de match nul. Dans ces conditions, les Bleus peuvent déjà préparer leurs bagages.