Titulaire indiscutable de la défense marseillaise, Souleymane Diawara commence à trouver ses marques après un début de saison difficile. Arrivé de Bordeaux pendant l’été au cours d’un transfert qui a fait couler beaucoup d’encre, le Sénégalais n’a pas tout de suite retrouvé son niveau avant d’être empêtré dans une ou deux affaires qui l’ont détourné du droit chemin. Depuis, le défenseur marseillais estime avoir rétabli l’équilibre, même s’il avoue que le changement avec Bordeaux est énorme.
« Ça ne n’est pas passé comme je le souhaitais au début mais je retrouve mon niveau petit à petit. On prenait beaucoup de buts et, en tant que défenseur, on se sent toujours fautif. Maintenant, ça va beaucoup mieux. Ici, y a plus de pression. C’est normal, cette ville vit pour l’Olympique de Marseille. Ces écarts de conduite qui ont fait du bruit font aussi partie de mon adaptation. On m’avait averti mais je n’imaginais pas que c’était comme ça. Il faut assumer et faire avec. Désormais, je fais deux fois plus attention à ce que je fais mais c’est vrai que ça m’a un peu surpris », a reconnu sur les ondes de RMC Diawara, buteur décisif face à Lorient la semaine dernière, et qui est en train de montrer sur le terrain qu’il a définitivement oublié cette arrivée chaotique à l’OM.
« Ça ne n’est pas passé comme je le souhaitais au début mais je retrouve mon niveau petit à petit. On prenait beaucoup de buts et, en tant que défenseur, on se sent toujours fautif. Maintenant, ça va beaucoup mieux. Ici, y a plus de pression. C’est normal, cette ville vit pour l’Olympique de Marseille. Ces écarts de conduite qui ont fait du bruit font aussi partie de mon adaptation. On m’avait averti mais je n’imaginais pas que c’était comme ça. Il faut assumer et faire avec. Désormais, je fais deux fois plus attention à ce que je fais mais c’est vrai que ça m’a un peu surpris », a reconnu sur les ondes de RMC Diawara, buteur décisif face à Lorient la semaine dernière, et qui est en train de montrer sur le terrain qu’il a définitivement oublié cette arrivée chaotique à l’OM.