Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux confirme le décès du supporter du Paris Saint-Germain agressé fin février en marge d'un match de son club contre l'Olympique de Marseille.
"C'est une nouvelle qui était malheureusement redoutée", a-t-il dit sur RTL.
Le jeune homme, qui avait été roué de coups en marge d'un match de Ligue 1 le 28 février, avait été hospitalisé dans le coma.
Quatre supporters du PSG ont été placés en garde à vue mercredi dans le cadre de l'enquête. Ils sont soupçonnés d'avoir eu un "rôle actif" dans l'agression.
Un autre homme a déjà été mis en examen et écroué samedi dernier pour tentative d'homicide volontaire.
Brice Hortefeux a assuré que le gouvernement avait pris des mesures qui étaient de nature à empêcher ce genre d'affrontements.
"Nous avons pris des initiatives très fortes depuis plusieurs semaines afin que les matches puissent se dérouler dans des conditions normales, pour que les familles puissent venir assister à un match, vibrer à l'émotion du sport et non pas avec la crainte de troubles", a dit le ministre de l'Intérieur.
Il y a eu 662 interdictions de stade et une division anti-hooligans a été créée au sein de la sécurité publique dans la police, a-t-il fait valoir. "Nous avons pris toutes les mesures qu'il fallait", a-t-il ajouté.
La victime était un habitué de la tribune "Boulogne" du Parc des Princes, ses agresseurs présumés fréquentaient des habitués de la tribune "Auteuil".
Devant les affrontements entre ces deux clans de supporters, la présidence du PSG a décidé d'arrêter la vente de billets aux supporters pour les matches à l'extérieur.
"C'est une nouvelle qui était malheureusement redoutée", a-t-il dit sur RTL.
Le jeune homme, qui avait été roué de coups en marge d'un match de Ligue 1 le 28 février, avait été hospitalisé dans le coma.
Quatre supporters du PSG ont été placés en garde à vue mercredi dans le cadre de l'enquête. Ils sont soupçonnés d'avoir eu un "rôle actif" dans l'agression.
Un autre homme a déjà été mis en examen et écroué samedi dernier pour tentative d'homicide volontaire.
Brice Hortefeux a assuré que le gouvernement avait pris des mesures qui étaient de nature à empêcher ce genre d'affrontements.
"Nous avons pris des initiatives très fortes depuis plusieurs semaines afin que les matches puissent se dérouler dans des conditions normales, pour que les familles puissent venir assister à un match, vibrer à l'émotion du sport et non pas avec la crainte de troubles", a dit le ministre de l'Intérieur.
Il y a eu 662 interdictions de stade et une division anti-hooligans a été créée au sein de la sécurité publique dans la police, a-t-il fait valoir. "Nous avons pris toutes les mesures qu'il fallait", a-t-il ajouté.
La victime était un habitué de la tribune "Boulogne" du Parc des Princes, ses agresseurs présumés fréquentaient des habitués de la tribune "Auteuil".
Devant les affrontements entre ces deux clans de supporters, la présidence du PSG a décidé d'arrêter la vente de billets aux supporters pour les matches à l'extérieur.