Les enseignants des écoles de formation en santé ont craché du feu sur leur tutelle, le ministre Abdoulaye Diouf Sarr pour dénoncer sa gestion jugée «catastrophique». Leur porte-parole, Meissa Diouf a décrié l’amateurisme qui règne au sein du ministère de la Santé, estimant que Diouf Sarr veut les imposer des formations qui n’ont jamais existé.
« Nous voulons dénoncer la gestion catastrophique mais aussi l’amateurisme qui règnent au ministère de la Santé surtout au niveau de la formation », a déclaré Meissa Diouf, d’entrée.
Porte-parole du collectif des enseignants des écoles de santé, il a accusé le ministre de vouloir dénaturer la formation : « Abdoulaye Diouf Sarr en complicité avec certains syndicalistes apéristes veulent dénaturer la formation. Ce que nous n’allons pas accepter en tant qu’enseignants ».
Rappelant les trois niveaux de l’enseignement supérieur, M. Diouf de déclarer qu’il est impossible d’inventer des choses dans la formation en santé : « Au niveau de l’enseignement supérieur, nous avons la Licence, le Master et le Doctorat, on ne peut pas inventer autre chose. Abdoulaye Diouf Sarr doit comprendre que ses prédécesseurs ont ratifié toutes les conventions relatives à la formation en science paramédicale ».
Ainsi, il a invité le ministre à comprendre que « l’administration est une continuité ». Avant de le prévenir que lui et ses camarades n’accepteront pas « s’il a des problèmes avec ses prédécesseurs, qu’il utilise l’école comme un instrument de règlement de compte ».
A l’en croire, Abdoulaye Diouf Sarr est en train de changer l’organisation et le fonctionnement de l’ENDSS (Ecole Nationale de Développement Sanitaire et Social) sans impliquer les acteurs ni l’administration ni les enseignants. « Il le fait en complicité avec d’autres personnes qui n’ont rien à avoir avec l’enseignement ici au Sénégal », a-t-il pesté sur la Rfm.
Le Collectif informe par ailleurs, qu’il tiendra le ministre Abdoulaye Diouf Sarr responsable de tout ce qui arrivera dans les établissement de formation. Ne s'arrêtant là, il annonce une marche le 13 novembre prochain.
« Nous voulons dénoncer la gestion catastrophique mais aussi l’amateurisme qui règnent au ministère de la Santé surtout au niveau de la formation », a déclaré Meissa Diouf, d’entrée.
Porte-parole du collectif des enseignants des écoles de santé, il a accusé le ministre de vouloir dénaturer la formation : « Abdoulaye Diouf Sarr en complicité avec certains syndicalistes apéristes veulent dénaturer la formation. Ce que nous n’allons pas accepter en tant qu’enseignants ».
Rappelant les trois niveaux de l’enseignement supérieur, M. Diouf de déclarer qu’il est impossible d’inventer des choses dans la formation en santé : « Au niveau de l’enseignement supérieur, nous avons la Licence, le Master et le Doctorat, on ne peut pas inventer autre chose. Abdoulaye Diouf Sarr doit comprendre que ses prédécesseurs ont ratifié toutes les conventions relatives à la formation en science paramédicale ».
Ainsi, il a invité le ministre à comprendre que « l’administration est une continuité ». Avant de le prévenir que lui et ses camarades n’accepteront pas « s’il a des problèmes avec ses prédécesseurs, qu’il utilise l’école comme un instrument de règlement de compte ».
A l’en croire, Abdoulaye Diouf Sarr est en train de changer l’organisation et le fonctionnement de l’ENDSS (Ecole Nationale de Développement Sanitaire et Social) sans impliquer les acteurs ni l’administration ni les enseignants. « Il le fait en complicité avec d’autres personnes qui n’ont rien à avoir avec l’enseignement ici au Sénégal », a-t-il pesté sur la Rfm.
Le Collectif informe par ailleurs, qu’il tiendra le ministre Abdoulaye Diouf Sarr responsable de tout ce qui arrivera dans les établissement de formation. Ne s'arrêtant là, il annonce une marche le 13 novembre prochain.