L'écurie Mercedes-AMG, assurée depuis dimanche à Sotchi, grâce à un doublé au Grand Prix de Russie, du titre mondial des constructeurs, fait honneur à l'histoire de la Formule 1 en gérant avec une classe folle les hauts et les bas d'une saison exceptionnelle.
On se souviendra longtemps de 2014, marquée par les résultats impressionnants des Flèches d'Argent: 13 victoires, 9 doublés, série en cours. On se souviendra aussi de la manière, comme dimanche soir dans le paddock de Sotchi, quand il a fallu aller poser pour une photo de famille, avec des tee-shirts portant la mention "champion du monde".
Malgré l'euphorie ambiante, personne n'a oublié Jules Bianchi, toujours dans un état critique à l'hôpital de Yokkaichi, et sûrement pas Toto Wolff, patron exemplaire de cette équipe hors-normes: "Je connais Jules depuis le début de sa carrière. Il combat aujourd'hui pour sa vie. Cela tempère forcément notre joie et notre envie de célébrer". Au fait, les tee-shirts commémoratifs étaient noirs, pas gris ou blancs, certainement pas un hasard.
Rarement une équipe de F1 aussi forte, même Ferrari ou McLaren, a autant inspiré le respect et la sympathie, pour les bonnes raisons. Car la "bande à Toto" est un assemblage cosmopolite de professionnels aussi compétents que modestes, aussi lucides que travailleurs, avec un gros avantage en prime: ils ne se cachent pas, ils ne mentent pas, ils ne cherchent jamais d'excuses.
Ça fait déjà plusieurs fois que Nico Rosberg se rate, sous la pression de son coéquipier implacable et insatiable, Lewis Hamilton: accrochage avec lui à Spa, par sa faute, tout-droit à Monza dans la chicane, mauvaise gestion de ses pneus arrière à Suzuka, freinage tardif à Sotchi. Mais Nico assume tout, de A à Z. Il répond, il sourit, il reste calme. Il est exemplaire, tout le temps
On se souviendra longtemps de 2014, marquée par les résultats impressionnants des Flèches d'Argent: 13 victoires, 9 doublés, série en cours. On se souviendra aussi de la manière, comme dimanche soir dans le paddock de Sotchi, quand il a fallu aller poser pour une photo de famille, avec des tee-shirts portant la mention "champion du monde".
Malgré l'euphorie ambiante, personne n'a oublié Jules Bianchi, toujours dans un état critique à l'hôpital de Yokkaichi, et sûrement pas Toto Wolff, patron exemplaire de cette équipe hors-normes: "Je connais Jules depuis le début de sa carrière. Il combat aujourd'hui pour sa vie. Cela tempère forcément notre joie et notre envie de célébrer". Au fait, les tee-shirts commémoratifs étaient noirs, pas gris ou blancs, certainement pas un hasard.
Rarement une équipe de F1 aussi forte, même Ferrari ou McLaren, a autant inspiré le respect et la sympathie, pour les bonnes raisons. Car la "bande à Toto" est un assemblage cosmopolite de professionnels aussi compétents que modestes, aussi lucides que travailleurs, avec un gros avantage en prime: ils ne se cachent pas, ils ne mentent pas, ils ne cherchent jamais d'excuses.
Ça fait déjà plusieurs fois que Nico Rosberg se rate, sous la pression de son coéquipier implacable et insatiable, Lewis Hamilton: accrochage avec lui à Spa, par sa faute, tout-droit à Monza dans la chicane, mauvaise gestion de ses pneus arrière à Suzuka, freinage tardif à Sotchi. Mais Nico assume tout, de A à Z. Il répond, il sourit, il reste calme. Il est exemplaire, tout le temps
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