A l’occasion de la deuxième édition du Forum Economique Francophone, Macky Sall a renouvelé ses condoléances émues au peuple Français. « Je voudrais renouveler mes condoléances émues au peuple Français, suite à l’accident tragique survenu à Puisseguin en Gironde. Puisse les victimes reposer en paix et les blessés retrouver la plénitude de leurs moyens», a déclaré le président en exercice de la conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de la francophonie. Et de poursuivre: «Au nom des Instances de la Francophonie, je remercie le Président Hollande et son Gouvernement pour avoir bien voulu accueillir cette deuxième édition du Forum économique francophone, après la première tenue, l’année dernière à Dakar, à l’occasion du XVe Sommet de la Francophonie. Au Sommet de Kinshasa en 2012, nous avions demandé à l’OIF et aux Opérateurs de proposer une stratégie économique pour la Francophonie, réunissant pouvoirs publics, entreprises, institutions éducatives et société civile ».
Prenant en exemple le Sénégal, Macky Sall a précisé que «c’est ce que nous avons fait à Dakar, en mettant en évidence les forces de l’espace francophone, avec ses 900 millions d’habitants et sa part de 20% dans les échanges mondiaux de marchandises. La Francophonie, ce sont aussi des affinités autour de la langue française comme instrument de communication et d’échange ; ce sont des valeurs et des aspirations partagées" telles que la liberté, la démocratie, le respect de la diversité culturelle et des droits de l’homme.
"La Francophonie, ce sont également les différences dans les niveaux de développement ; un espace où des membres du G7 et du G20 côtoient des pays en développement, certains émergents, d’autres parmi les moins avancés, des affinités, différences, contraintes et opportunités de la transition énergétique. Mais aussi une prise en compte de la situation spécifique de la jeunesse et des femmes comme acteurs de développement: voilà les fondamentaux de la Stratégie économique pour la Francophonie sur laquelle nous-nous sommes engagés au Sommet de Dakar», a par ailleurs, indiqué le Chef de l'Etat. Pour ce dernier, "il s’agit maintenant d’aller de l’avant, de passer des engagements aux actes, de bâtir sur nos affinités et nos valeurs communes une Francophonie des affaires qui tient compte de nos différences".
Car, "en plus de la langue, l’espace francophone recèle d’autres atouts, et non des moindres dont l’expertise dans les technologies les plus avancées, l’esprit d’entreprise et de partenariat et la capacité d’innovation. Et beaucoup d’entre nous partagent une tradition juridique commune et des espaces d’intégration qui facilitent les échanges. Mais, l’une des clefs de réussite dans la promotion des échanges intra francophones, c’est le financement", a développé le président Sall. "Pour plus de transparence, de célérité et d’efficacité dans l’échange et l’investissement, le président Sall invite, en même temps, à travailler partout à l’amélioration continue de l’environnement des affaires", a-t-il poursuivi.
Le Chef de l'Etat a aussi évoqué la question de la mobilité qui mérite d’être posée, selon lui. «Mais il y a aussi la question de la mobilité. Posons-la, car elle est tout aussi importante. Elle sera certainement dans l’agenda du Sommet de Malte sur la migration, dans quelques jours. L’échange dans la Francophonie se fera par le mouvement, par la libre circulation des biens et des services certes, mais aussi par la mobilité des acteurs de l’échange. Si nous voulons entreprendre ensemble dans une économie mondiale soumise à la libre concurrence, nous devons faire en sorte que les hommes et femmes d’affaires de l’espace francophone puissent s’y mouvoir sans obstacles indus», a-t-il dit.
"Ceux et celles qui ont des raisons et les moyens de se déplacer pour les besoins de leurs affaires devraient pouvoir le faire sans entraves", a invité le Chef de l'Etat qui n'a pas manqué de demandé de "travailler ensemble pour y arriver" car "c’est l’essence même de la francophonie des valeurs. Et c’est une des conditions de réussite de la Francophonie économique".
Prenant en exemple le Sénégal, Macky Sall a précisé que «c’est ce que nous avons fait à Dakar, en mettant en évidence les forces de l’espace francophone, avec ses 900 millions d’habitants et sa part de 20% dans les échanges mondiaux de marchandises. La Francophonie, ce sont aussi des affinités autour de la langue française comme instrument de communication et d’échange ; ce sont des valeurs et des aspirations partagées" telles que la liberté, la démocratie, le respect de la diversité culturelle et des droits de l’homme.
"La Francophonie, ce sont également les différences dans les niveaux de développement ; un espace où des membres du G7 et du G20 côtoient des pays en développement, certains émergents, d’autres parmi les moins avancés, des affinités, différences, contraintes et opportunités de la transition énergétique. Mais aussi une prise en compte de la situation spécifique de la jeunesse et des femmes comme acteurs de développement: voilà les fondamentaux de la Stratégie économique pour la Francophonie sur laquelle nous-nous sommes engagés au Sommet de Dakar», a par ailleurs, indiqué le Chef de l'Etat. Pour ce dernier, "il s’agit maintenant d’aller de l’avant, de passer des engagements aux actes, de bâtir sur nos affinités et nos valeurs communes une Francophonie des affaires qui tient compte de nos différences".
Car, "en plus de la langue, l’espace francophone recèle d’autres atouts, et non des moindres dont l’expertise dans les technologies les plus avancées, l’esprit d’entreprise et de partenariat et la capacité d’innovation. Et beaucoup d’entre nous partagent une tradition juridique commune et des espaces d’intégration qui facilitent les échanges. Mais, l’une des clefs de réussite dans la promotion des échanges intra francophones, c’est le financement", a développé le président Sall. "Pour plus de transparence, de célérité et d’efficacité dans l’échange et l’investissement, le président Sall invite, en même temps, à travailler partout à l’amélioration continue de l’environnement des affaires", a-t-il poursuivi.
Le Chef de l'Etat a aussi évoqué la question de la mobilité qui mérite d’être posée, selon lui. «Mais il y a aussi la question de la mobilité. Posons-la, car elle est tout aussi importante. Elle sera certainement dans l’agenda du Sommet de Malte sur la migration, dans quelques jours. L’échange dans la Francophonie se fera par le mouvement, par la libre circulation des biens et des services certes, mais aussi par la mobilité des acteurs de l’échange. Si nous voulons entreprendre ensemble dans une économie mondiale soumise à la libre concurrence, nous devons faire en sorte que les hommes et femmes d’affaires de l’espace francophone puissent s’y mouvoir sans obstacles indus», a-t-il dit.
"Ceux et celles qui ont des raisons et les moyens de se déplacer pour les besoins de leurs affaires devraient pouvoir le faire sans entraves", a invité le Chef de l'Etat qui n'a pas manqué de demandé de "travailler ensemble pour y arriver" car "c’est l’essence même de la francophonie des valeurs. Et c’est une des conditions de réussite de la Francophonie économique".