Dans les différentes interventions, la nécessité de coopération entre les pays Africains fait l'unanimité. Au point qu'on aurait mettre pu dire un cri de guerre : c'est coordonné les actions face à la menace.
Idriss Deby, « Des efforts remarquables de règlement de conflits ont été accomplis mais on assiste à un nouveau phénomène. Il n'a pas de visage. Fait une l'interprétation erronée de la religion. Il profite de la misère et du chômage. Donc, il faut le combattre avec toute la rigueur promise. Pour cela, il faut une approche accélérée cordonnée et coopérative ».
Pour le président Mali Ibrahima Boubacar Kéita, « Il faut comprendre que ce qui se passe au Sahel n'est pas un problème malien, c'est le problème de tous. Il y va de la paix du monde. Que ceux qui vivent de la décapitation disent qu'ils le font au nom de l'islam. De quel islam, la religion de la paix ! Ceux qui le font, j'ai du mal à les mettre dans l'échelle humaine » lance le président Malien à ses camarades présidents.
Pour Jean-Yves LeDrian « la sécurité à un prix, avec le terrorisme la sécurité ne peut être durable sans la collaboration. La gestion partagée est la seule solution durable face à la menace Djihadiste. Il n'y plus de place pour une gestion solitaire. Cette dynamique est portée par les pays africains et la France est là pour les y accompagner ».
De l'avis du chef de l'Etat Macky Sall « l'approche doit être globale dans l'identification des forces de la déstabilisation, mais aussi dans les réponses à apporter. Nous faisons face à des menaces plus difficiles à prévoir et à combattre. Ils sont diffus ce qui rend la tâche de les combattre plus corsée.
Pour la Libye, c'est un travail inachevé. Il faut le dire pour que ceux qui l'ont commencé nous aide à le terminer. Elle est devenue une poudrière pour la zone Sahel. Les menaces à la paix ont changé de nature, il faut changer les règles d'engagement de nos forces. Il faut nous donner les moyens de riposter car nos armées sont partout harceler dans leur présence » plaide le chef de l'Etat du Sénégal.
Idriss Deby, « Des efforts remarquables de règlement de conflits ont été accomplis mais on assiste à un nouveau phénomène. Il n'a pas de visage. Fait une l'interprétation erronée de la religion. Il profite de la misère et du chômage. Donc, il faut le combattre avec toute la rigueur promise. Pour cela, il faut une approche accélérée cordonnée et coopérative ».
Pour le président Mali Ibrahima Boubacar Kéita, « Il faut comprendre que ce qui se passe au Sahel n'est pas un problème malien, c'est le problème de tous. Il y va de la paix du monde. Que ceux qui vivent de la décapitation disent qu'ils le font au nom de l'islam. De quel islam, la religion de la paix ! Ceux qui le font, j'ai du mal à les mettre dans l'échelle humaine » lance le président Malien à ses camarades présidents.
Pour Jean-Yves LeDrian « la sécurité à un prix, avec le terrorisme la sécurité ne peut être durable sans la collaboration. La gestion partagée est la seule solution durable face à la menace Djihadiste. Il n'y plus de place pour une gestion solitaire. Cette dynamique est portée par les pays africains et la France est là pour les y accompagner ».
De l'avis du chef de l'Etat Macky Sall « l'approche doit être globale dans l'identification des forces de la déstabilisation, mais aussi dans les réponses à apporter. Nous faisons face à des menaces plus difficiles à prévoir et à combattre. Ils sont diffus ce qui rend la tâche de les combattre plus corsée.
Pour la Libye, c'est un travail inachevé. Il faut le dire pour que ceux qui l'ont commencé nous aide à le terminer. Elle est devenue une poudrière pour la zone Sahel. Les menaces à la paix ont changé de nature, il faut changer les règles d'engagement de nos forces. Il faut nous donner les moyens de riposter car nos armées sont partout harceler dans leur présence » plaide le chef de l'Etat du Sénégal.