Xavier Bertrand deviendra officiellement le nouveau secrétaire général de l'UMP samedi lors du Conseil national du parti présidentiel.(Photo : AFP)
Il reste le seul « patron » de l'UMP, Nicolas Sarkozy qui n'a pas ménagé ses efforts ces dernières semaines pour mettre en œuvre la refonte de son parti après le léger remaniement du gouvernement.
Car ce que souhaite le président pour lancer la seconde phase de son quinquennat c'est avant tout remettre de l'ordre dans la majorité présidentielle pour préparer les prochaines échéances électorales : les européennes en juin, les régionales l'an prochain et bien sûr la présidentielle de 2012.
Concurrence
Et pour que les ambitions individuelles ne viennent pas freiner ce nouvel élan, Nicolas Sarkozy a délibérément organisé la concurrence au sommet de l'UMP. C'est ce qui va se jouer ce matin au Conseil national.
Ainsi Xavier Bertand sera officiellement investi à la tête du parti mais il devra composer avec son rival Brice Hortefeux, l'un des plus fidèles lieutenants du président qui devrait être lui nommé à l'une des vice-présidences du Conseil national avec en prime la main haute sur les investitures, un véritable poste-clé.
Et pour compléter cette vaste refonte : l'ex-socialiste Eric Besson sera promu également à la direction du parti au risque d'alimenter de nouvelles frictions au sein de la majorité.
SOURCE
Car ce que souhaite le président pour lancer la seconde phase de son quinquennat c'est avant tout remettre de l'ordre dans la majorité présidentielle pour préparer les prochaines échéances électorales : les européennes en juin, les régionales l'an prochain et bien sûr la présidentielle de 2012.
Concurrence
Et pour que les ambitions individuelles ne viennent pas freiner ce nouvel élan, Nicolas Sarkozy a délibérément organisé la concurrence au sommet de l'UMP. C'est ce qui va se jouer ce matin au Conseil national.
Ainsi Xavier Bertand sera officiellement investi à la tête du parti mais il devra composer avec son rival Brice Hortefeux, l'un des plus fidèles lieutenants du président qui devrait être lui nommé à l'une des vice-présidences du Conseil national avec en prime la main haute sur les investitures, un véritable poste-clé.
Et pour compléter cette vaste refonte : l'ex-socialiste Eric Besson sera promu également à la direction du parti au risque d'alimenter de nouvelles frictions au sein de la majorité.
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