Dans le cadre de cette procédure de référé détention, la chambre de l'instruction de la Cour d'appel de Paris doit examiner l'affaire mardi, a-t-on ajouté de même source.
Julien Coupat est incarcéré à la maison d'arrêt de la Santé depuis le 15 novembre, date de sa mise en examen pour "direction d'une association de malfaiteurs terroristes", un crime passible des assises.
Le 2 décembre dernier, la chambre de l'instruction avait ordonné la remise en liberté de trois proches de Julien Coupat, mais avait ordonné son maintien en détention et celui de sa compagne.
Neuf personnes ont été mises en examen le 15 novembre pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste" et "dégradations en réunion en relation avec une entreprise terroriste". Cinq avaient été placées en détention provisoire.
Sur les neuf mis en examen dans ce dossier dont la qualification terroriste fait débat, cinq sont soupçonnés d'avoir participé à des actes de malveillance ayant visé la SNCF. Proches de la mouvance qualifiée d'anarcho-autonome par la police, ils sont suspectés d'avoir formé une "cellule invisible".
Cinq actes de malveillance ont été commis entre le 26 octobre et le 8 novembre contre des lignes TGV. Des fers à béton en forme de crochets ont été posés sur des caténaires en Moselle, dans l'Oise, l'Yonne, la Seine-et-Marne, entraînant des retards dans la circulation de plusieurs dizaines de trains.
Source : AP avec yahoo news
Julien Coupat est incarcéré à la maison d'arrêt de la Santé depuis le 15 novembre, date de sa mise en examen pour "direction d'une association de malfaiteurs terroristes", un crime passible des assises.
Le 2 décembre dernier, la chambre de l'instruction avait ordonné la remise en liberté de trois proches de Julien Coupat, mais avait ordonné son maintien en détention et celui de sa compagne.
Neuf personnes ont été mises en examen le 15 novembre pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste" et "dégradations en réunion en relation avec une entreprise terroriste". Cinq avaient été placées en détention provisoire.
Sur les neuf mis en examen dans ce dossier dont la qualification terroriste fait débat, cinq sont soupçonnés d'avoir participé à des actes de malveillance ayant visé la SNCF. Proches de la mouvance qualifiée d'anarcho-autonome par la police, ils sont suspectés d'avoir formé une "cellule invisible".
Cinq actes de malveillance ont été commis entre le 26 octobre et le 8 novembre contre des lignes TGV. Des fers à béton en forme de crochets ont été posés sur des caténaires en Moselle, dans l'Oise, l'Yonne, la Seine-et-Marne, entraînant des retards dans la circulation de plusieurs dizaines de trains.
Source : AP avec yahoo news