Dorénavant les dix prétendants à l'Elysée sont tous à égalité. Dans les médias tout d'abord, le Conseil supérieur de l'audiovisuel, le gendarme des télévisions et des radios, ouvre une nouvelle période.
Des spots de campagne des candidats seront diffusés sur les radios et chaînes publiques dans un cadre strict. Chaque candidat a droit à 43 minutes jusqu'au 20 avril, soit dix spots de petit format d'une minute trente et huit de grand format de trois minutes trente.
Depuis le 20 mars, les radios et chaînes de télévision devaient déjà respecter une stricte égalité des temps de parole entre les dix candidats mais elles pouvaient décider dans quelles émissions ces derniers s'exprimaient. La règle change : les télévisions devront donner aux candidats des conditions de programmation comparable: une invitation dans un journal à 20 heures n'est pas égale à une émission diffusée à 4 heures du matin.
Pour les autres volets de la communication, là encore la loi est claire : les panneaux, affiches et professions de foi sont soumis aux même règles pour les dix candidats.
RFI
Des spots de campagne des candidats seront diffusés sur les radios et chaînes publiques dans un cadre strict. Chaque candidat a droit à 43 minutes jusqu'au 20 avril, soit dix spots de petit format d'une minute trente et huit de grand format de trois minutes trente.
Depuis le 20 mars, les radios et chaînes de télévision devaient déjà respecter une stricte égalité des temps de parole entre les dix candidats mais elles pouvaient décider dans quelles émissions ces derniers s'exprimaient. La règle change : les télévisions devront donner aux candidats des conditions de programmation comparable: une invitation dans un journal à 20 heures n'est pas égale à une émission diffusée à 4 heures du matin.
Pour les autres volets de la communication, là encore la loi est claire : les panneaux, affiches et professions de foi sont soumis aux même règles pour les dix candidats.
RFI