Lorsqu'un Malien est expulsé de France après avoir purgé une peine de prison, il est théoriquement libre de ses mouvements au Mali.
Mais dans certains cas particuliers, les autorités françaises sont censées saisir leurs homologues maliens pour les avertir. Notamment lorsqu'il y a une suspicion d'appartenance « à la mouvance pro-jihadiste », précise le ministère de l'Intérieur dans son communiqué, ce qui peut poser des problèmes de sécurité nationale au Mali.
Mesures de suivi et d'écoute
Voilà ce que l'on explique au ministère des Maliens de l'extérieur, à Bamako. Dans des cas comme celui-ci, des mesures de suivi et de mise sur écoute peuvent être mises en place. En clair, on ne laisse pas la personne s'échapper dans la nature.
Mais dans le cas présent, toujours au ministère des Maliens de l'extérieur, on semble découvrir ce cas. Aucune trace de la personne expulsée vendredi 5 août de France et qui est donc arrivée il y a déjà deux jours au Mali.
Source: Rfi.fr
Mais dans certains cas particuliers, les autorités françaises sont censées saisir leurs homologues maliens pour les avertir. Notamment lorsqu'il y a une suspicion d'appartenance « à la mouvance pro-jihadiste », précise le ministère de l'Intérieur dans son communiqué, ce qui peut poser des problèmes de sécurité nationale au Mali.
Mesures de suivi et d'écoute
Voilà ce que l'on explique au ministère des Maliens de l'extérieur, à Bamako. Dans des cas comme celui-ci, des mesures de suivi et de mise sur écoute peuvent être mises en place. En clair, on ne laisse pas la personne s'échapper dans la nature.
Mais dans le cas présent, toujours au ministère des Maliens de l'extérieur, on semble découvrir ce cas. Aucune trace de la personne expulsée vendredi 5 août de France et qui est donc arrivée il y a déjà deux jours au Mali.
Source: Rfi.fr