Le Sénégal, pays hôte, a proposé pour notre Sommet : « Femmes et jeunes en Francophonie, vecteurs de paix, acteurs de développement ». Nous souhaitons, par ce thème, donner à notre communauté l’occasion d’un échange orienté sur l’action en faveur de deux composantes majeures de nos sociétés.
Que serait en effet le monde sans la force vitale des femmes, son autre moitié ? Et sans l’enthousiasme et le dynamisme de sa jeunesse, son avenir ? Et pourtant, les femmes et les jeunes sont encore les plus exposés en temps de conflit, et les plus vulnérables en temps de paix. Pour beaucoup, les droits et libertés, le progrès économique et social, loin d’être une jouissance ou l’espoir d’un lendemain meilleur, relèvent plutôt d’un combat incertain pour la vie.
Je pense aux violences spécifiques sur les jeunes et les femmes. Je pense aux discriminations de toutes sortes dont ils sont victimes. Je pense aux inégalités qui limitent leur accès aux soins de santé, à l’éducation, à la formation, à l’emploi, aux sources de revenus, à la propriété et au pouvoir décisionnel.
Oui, la francophonie des peuples commande que les jeunes et les femmes restent au cœur de nos politiques et de nos efforts conjugués. Car les jeunes et les femmes sont le cœur de nos sociétés. Ils sont le cœur de nos projets. Ils sont le cœur de nos ambitions et le cœur des défis que nous devons relever ensemble.
Contre la guerre et la violence, agissons pour la paix, la sécurité et la stabilité. Contre l’ignorance et les dérives extrémistes, édifions des systèmes d’éducation et de formation aptes à résoudre les problèmes du chômage et de la marginalisation sociale.
Contre la dégradation continue de notre environnement, prenons la pleine mesure de nos responsabilités pour un développement solidaire et durable.
J’engage à cet égard la communauté francophone à rester mobilisée pour le succès de la 21ème Conférence des Nations unies sur le changement climatique, prévue en 2015 à Paris.
Que serait en effet le monde sans la force vitale des femmes, son autre moitié ? Et sans l’enthousiasme et le dynamisme de sa jeunesse, son avenir ? Et pourtant, les femmes et les jeunes sont encore les plus exposés en temps de conflit, et les plus vulnérables en temps de paix. Pour beaucoup, les droits et libertés, le progrès économique et social, loin d’être une jouissance ou l’espoir d’un lendemain meilleur, relèvent plutôt d’un combat incertain pour la vie.
Je pense aux violences spécifiques sur les jeunes et les femmes. Je pense aux discriminations de toutes sortes dont ils sont victimes. Je pense aux inégalités qui limitent leur accès aux soins de santé, à l’éducation, à la formation, à l’emploi, aux sources de revenus, à la propriété et au pouvoir décisionnel.
Oui, la francophonie des peuples commande que les jeunes et les femmes restent au cœur de nos politiques et de nos efforts conjugués. Car les jeunes et les femmes sont le cœur de nos sociétés. Ils sont le cœur de nos projets. Ils sont le cœur de nos ambitions et le cœur des défis que nous devons relever ensemble.
Contre la guerre et la violence, agissons pour la paix, la sécurité et la stabilité. Contre l’ignorance et les dérives extrémistes, édifions des systèmes d’éducation et de formation aptes à résoudre les problèmes du chômage et de la marginalisation sociale.
Contre la dégradation continue de notre environnement, prenons la pleine mesure de nos responsabilités pour un développement solidaire et durable.
J’engage à cet égard la communauté francophone à rester mobilisée pour le succès de la 21ème Conférence des Nations unies sur le changement climatique, prévue en 2015 à Paris.