Le Sénégal compte sa première victime dans l'escalade meurtrière au Liban. Il s'agit de Anna Diédhiou. Elle a été tuée par les frappes de l'armée israélienne.
Selon la famille sénégalaise d’origine libanaise qui s'est confiée à Pulse.sn, les faits se sont déroulés aux alentours de 11 heures, lundi 23 septembre. La maison, qui a fini en décombres après les bombardements, abritait quatre personnes. ‘’J'ai perdu ma grand-mère, mes deux oncles et la nièce de ma grand-mère’’, témoigne le petit-fils direct des victimes. Il indique également que la nouvelle a été apprise plusieurs heures après l'attaque et jusqu'à présent, les corps n'ont pas tous été retrouvés", un membre de sa famille.
Qui ajoute : " C'était une simple aide-soignante. Le bombardement a touché des civils innocents et c'est ça qui est le plus difficile à accepter’’.
Par ailleurs, ce témoignage de la famille illustre la violence des bombardements qui, selon Israël, visent des infrastructures militaires, mais qui, en réalité, détruisent aussi des foyers civils.
"Ce n'est pas un dommage collatéral. La maison a été directement bombardée, sans raison apparente. Il n’y avait pas un missile à côté, notre maison a été ciblée et bombardée. Ce n'est pas un centre militaire et aucun membre de notre famille n'a de lien avec une quelconque organisation armée", persiste et signe la famille endeuillée.
Selon la famille sénégalaise d’origine libanaise qui s'est confiée à Pulse.sn, les faits se sont déroulés aux alentours de 11 heures, lundi 23 septembre. La maison, qui a fini en décombres après les bombardements, abritait quatre personnes. ‘’J'ai perdu ma grand-mère, mes deux oncles et la nièce de ma grand-mère’’, témoigne le petit-fils direct des victimes. Il indique également que la nouvelle a été apprise plusieurs heures après l'attaque et jusqu'à présent, les corps n'ont pas tous été retrouvés", un membre de sa famille.
Qui ajoute : " C'était une simple aide-soignante. Le bombardement a touché des civils innocents et c'est ça qui est le plus difficile à accepter’’.
Par ailleurs, ce témoignage de la famille illustre la violence des bombardements qui, selon Israël, visent des infrastructures militaires, mais qui, en réalité, détruisent aussi des foyers civils.
"Ce n'est pas un dommage collatéral. La maison a été directement bombardée, sans raison apparente. Il n’y avait pas un missile à côté, notre maison a été ciblée et bombardée. Ce n'est pas un centre militaire et aucun membre de notre famille n'a de lien avec une quelconque organisation armée", persiste et signe la famille endeuillée.
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