Les armées du Sénégal et de la Gambie ont annoncé des patrouilles mixtes entre la zone militaire numéro 3 basée à Kaolack et le deuxième bataillon d’infanterie de la Gambie pour sécuriser la frontière commune entre les deux pays.
Le colonel Diouma Sow, commandant de la zone militaire numéro 3, couvrant les régions de Kaolack, Kaffrine et Fatick, (centre) annonce que les patrouilles mixtes convenues par les armées sénégalaises et gambiennes, au-delà de leur apport dans le renforcement de la sécurité, visent à prévenir litiges et différends à la frontière des deux pays.
“L’objectif de tout cela, c’est d’être proches des populations, qu’elles se sentent en sécurité mais aussi qu’elles sachent que, puisque nos chefs et les autorités suprêmes des deux pays ont décidé de s’asseoir autour d’une table, il ne peut pas y avoir de litiges, de différends au niveau de la frontière”, a expliqué le colonel Diouma Sow, repris par l'APS.
Le colonel Diouma Sow, commandant de la zone militaire numéro 3, couvrant les régions de Kaolack, Kaffrine et Fatick, (centre) annonce que les patrouilles mixtes convenues par les armées sénégalaises et gambiennes, au-delà de leur apport dans le renforcement de la sécurité, visent à prévenir litiges et différends à la frontière des deux pays.
“L’objectif de tout cela, c’est d’être proches des populations, qu’elles se sentent en sécurité mais aussi qu’elles sachent que, puisque nos chefs et les autorités suprêmes des deux pays ont décidé de s’asseoir autour d’une table, il ne peut pas y avoir de litiges, de différends au niveau de la frontière”, a expliqué le colonel Diouma Sow, repris par l'APS.
Autres articles
-
Sénégal : suspension des exportations de graines d’arachide pour la campagne 2024-2025
-
Immigration irrégulière : la pirogue partie de Bassoul retrouvée aux îles Canaries
-
COP29 : Enda énergie entame un travail de ‘’collecte et d’élaboration scientifique’’ pour les grands enjeux climatiques
-
Les syndicats du G7 s'opposent à la gestion des LYNAQE par des militaires à la retraite
-
Dakar accueille une consultation continentale d’experts sur la xénophobie et les droits des migrants