Colonel Alioune Ndiaye, porte-parole de la police nationale
L’intimidation a, apparemment, viré au pire. Des nervis qui étaient déployés au domicile de certains leaders et à la mairie de Mermoz-Sacré cœur ont finalement semé la tension, la violence dans ce quartier. En effet, des échanges de coups de feu ont fait un mort et trois blessés. Un bilan que confirme la police qui a sorti un communiqué pour donner sa version des faits. Dans un communiqué reçu à PressAfrik, la Direction générale de la police nationale a fait savoir que «le jeudi 22 décembre 2011, peu avant midi, la Police a été informée de la présence de deux groupes hostiles en face de la mairie de Sacré-cœur – Mermoz». Et d’ajouter : «sans désemparer, le commissaire de Dieuppeul en compagnie d’autres agents s’est rendu sur les lieux où il a constaté des velléités d’affrontements entre deux groupes, c’est ainsi qu’il a demandé au groupe qui était en face de la mairie de quitter les lieux, tout en demandant un renfort d’éléments d’intervention».
La police de relever que «c’est à cet instant que la situation a dégénéré et des coups de feu ont été tirés. L’arrivée des renforts a permis de circonscrire rapidement l’incident. Plus tard, quatre blessés ont été répertoriés. L’un d’eux succombera de ses blessures».
C’est pourquoi, a indiqué le communiqué, des instructions ont été données par le procureur de la République pour l’ouverture d’une enquête.
La police de relever que «c’est à cet instant que la situation a dégénéré et des coups de feu ont été tirés. L’arrivée des renforts a permis de circonscrire rapidement l’incident. Plus tard, quatre blessés ont été répertoriés. L’un d’eux succombera de ses blessures».
C’est pourquoi, a indiqué le communiqué, des instructions ont été données par le procureur de la République pour l’ouverture d’une enquête.