Le scénario qui a coûté la vie au lutteur Ndiaga Diop est assimilé à un « épiphénomène » par le ministre de l’intérieur qui défend que nul n’est au-dessus de la loi. « L’affaire Barthélémy Dias est un épiphénomène. Il s’agit d’un dérapage qu’on peut connaitre d’ailleurs dans tous les pays, les grandes démocraties comme dans les autres pays, il peut y avoir des citoyens qui se croient au-dessus des lois et qui font la terreur », a résumé Me Ousmane Ngom, rappelant cependant que « nous sommes dans un Etat de droit et personne ne peut échapper également à la justice. Nous sommes chargés d’assurer la sécurité des biens et des personnes quel que soit d’ailleurs le camp de ses personnes ». Ce qui lui fait dire « personne n’a le droit d’utiliser la violence, même pour se défendre. C’est l’Etat qui a le monopole de la violence légale ».
Le ministre de l’intérieur a également indiqué qu’ « il s’est agi de façon délibérée de poursuivre des gens, de tirer sur eux comme si on était au far West ». « Quelle mouche a piqué les personnes qui étaient avec Barthélémy pour qu’ils puissent poursuivre ses personnes avec des pistolets en tirant de cette façon », s’est-il interrogé.
Toutefois, Ousmane Ngom s’est tenu de se prononcer sur le sort des nervis qui étaient envoyés à la mairie de Barthélémy Dias, ainsi que leurs commanditaires.
Le ministre de l’intérieur a également indiqué qu’ « il s’est agi de façon délibérée de poursuivre des gens, de tirer sur eux comme si on était au far West ». « Quelle mouche a piqué les personnes qui étaient avec Barthélémy pour qu’ils puissent poursuivre ses personnes avec des pistolets en tirant de cette façon », s’est-il interrogé.
Toutefois, Ousmane Ngom s’est tenu de se prononcer sur le sort des nervis qui étaient envoyés à la mairie de Barthélémy Dias, ainsi que leurs commanditaires.