Les deux gardes du corps de Barthélémy Dias, Habib Dieng et Babacar Faye, ainsi que les deux nervis, Bocar Sy et Cheikh Diop, accusés d’attaque, hument l’air de la liberté depuis mercredi dernier. En effet, après avis favorable du procureur de la République, Ousmane Diagne, le doyen des juges, Mahawa Sémou Diouf leur a accordé la liberté provisoire.
Le jeune socialiste demeure à cet effet, le seul en prison dans cet épisode de la mairie de Baobab. Mercredi dernier, devant le magistrat instructeur, toutes les demandes de mise en liberté provisoire déposées par les avocats de M. Dias ont été rejetées au motif que ces demandes sont prématurées, puisque l’inculpé n’a pas été auditionné dans le fond, soutient dans les colonnes du journal « L’observateur », le juge d’instruction.
Les avocats du jeune maire sont par ailleurs allés plus loin, en saisissant la Cour de justice de la CEDEAO pour exiger sa « libération immédiate ».
Le jeune socialiste demeure à cet effet, le seul en prison dans cet épisode de la mairie de Baobab. Mercredi dernier, devant le magistrat instructeur, toutes les demandes de mise en liberté provisoire déposées par les avocats de M. Dias ont été rejetées au motif que ces demandes sont prématurées, puisque l’inculpé n’a pas été auditionné dans le fond, soutient dans les colonnes du journal « L’observateur », le juge d’instruction.
Les avocats du jeune maire sont par ailleurs allés plus loin, en saisissant la Cour de justice de la CEDEAO pour exiger sa « libération immédiate ».