Être une voix pour l’Afrique au milieu des plus grandes économies du monde, voilà le mot d’ordre, un an après l'admission de l'Union africaine comme membre permanent de ce forum créé en 1999 pour promouvoir la coopération économique mondiale.
L’Afrique du Sud compte bien s’assurer que les intérêts économiques du continent soient au centre des discussions. Avec la volonté de s’attaquer aux inégalités et aux écarts de richesses, rapporte notre correspondant à Johannesburg, Valentin Hugues .
Concrètement, à partir de la semaine prochaine, 130 réunions vont avoir lieu à travers le pays, entre les représentants des États du groupe des 20, la Banque centrale, le Trésor public, mais aussi des organisations civiles, pour représenter les femmes ou la jeunesse par exemple.
Ces groupes de travail chercheront des solutions pour avancer en termes de croissance inclusive, de sécurité alimentaire et d'Intelligence artificielle (IA), soit les trois priorités avancées par l’Afrique du Sud.
Après un an de réflexion, le sommet des chefs d'États aura lieu à Johannesburg. À Rio, cette année, ils se sont par exemple mis d’accord sur la création d’une Alliance globale contre la faim et la pauvreté.
Au-delà de l'événement, l’Afrique du Sud mise aussi sur ce G20 pour prouver son sérieux et attirer les investisseurs étrangers, sur les plus de 10 000 personnes attendues aux rencontres pour booster son économie. Et enfin, sur cette vitrine internationale pour attirer plus de touristes du monde entier.
L’Afrique du Sud compte bien s’assurer que les intérêts économiques du continent soient au centre des discussions. Avec la volonté de s’attaquer aux inégalités et aux écarts de richesses, rapporte notre correspondant à Johannesburg, Valentin Hugues .
Concrètement, à partir de la semaine prochaine, 130 réunions vont avoir lieu à travers le pays, entre les représentants des États du groupe des 20, la Banque centrale, le Trésor public, mais aussi des organisations civiles, pour représenter les femmes ou la jeunesse par exemple.
Ces groupes de travail chercheront des solutions pour avancer en termes de croissance inclusive, de sécurité alimentaire et d'Intelligence artificielle (IA), soit les trois priorités avancées par l’Afrique du Sud.
Après un an de réflexion, le sommet des chefs d'États aura lieu à Johannesburg. À Rio, cette année, ils se sont par exemple mis d’accord sur la création d’une Alliance globale contre la faim et la pauvreté.
Au-delà de l'événement, l’Afrique du Sud mise aussi sur ce G20 pour prouver son sérieux et attirer les investisseurs étrangers, sur les plus de 10 000 personnes attendues aux rencontres pour booster son économie. Et enfin, sur cette vitrine internationale pour attirer plus de touristes du monde entier.
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