François Wu préfère ne pas dire où il se trouve actuellement. Il aurait quitté le Gabon avant que l'affaire n'éclate : « Pour l’instant, je dois quand même être prudent pour me protéger. Je n’ai pas fui. Si je décide de ne pas rentrer au Gabon, c’est tout simplement parce que, dans cette affaire, pour l’instant, j’estime que ce n’est pas vraiment un travail de la justice que les gens sont en train de faire. Il n’y a rien qui correspond à la vérité », affirme-t-il.
Selon la justice gabonaise, c'est sur le site de la société 3C transit que les 353 containers auraient disparu. L'homme d'affaires reconnait qu'il y a bien travaillé mais pas comme responsable : « Moi, je ne suis qu’un expert en conseils juridiques et traducteur. Certains compatriotes qui sont peut-être jaloux ou qui ont d’autres motifs, je ne sais pas, ont donné mon nom à la justice. Ils estiment que moi, je suis le cerveau de l’affaire. Pourtant, nulle part il y a mon nom, nulle part il y a ma signature », souligne-t-il.
François Wu dénonce de nombreuses incohérences : « Sur les 200 containers localisés au Gabon, 71 containers sont à la Sotrasgab. Je peux vous dire et bien confirmer qu’aucun container n’a un morceau de kevazingo dedans. On n’a qu’à aller vérifier. Il suffit de faire un rapport d’expertise », ajoute-t-il. L'homme est actuellement recherché par la justice gabonaise.
Selon la justice gabonaise, c'est sur le site de la société 3C transit que les 353 containers auraient disparu. L'homme d'affaires reconnait qu'il y a bien travaillé mais pas comme responsable : « Moi, je ne suis qu’un expert en conseils juridiques et traducteur. Certains compatriotes qui sont peut-être jaloux ou qui ont d’autres motifs, je ne sais pas, ont donné mon nom à la justice. Ils estiment que moi, je suis le cerveau de l’affaire. Pourtant, nulle part il y a mon nom, nulle part il y a ma signature », souligne-t-il.
François Wu dénonce de nombreuses incohérences : « Sur les 200 containers localisés au Gabon, 71 containers sont à la Sotrasgab. Je peux vous dire et bien confirmer qu’aucun container n’a un morceau de kevazingo dedans. On n’a qu’à aller vérifier. Il suffit de faire un rapport d’expertise », ajoute-t-il. L'homme est actuellement recherché par la justice gabonaise.