Dans son discours prononcé à l'occasion du 8e anniversaire de son parti, Zacharie Myboto, qui s'exprimait en présence de Jean Ping, a maintenu le suspense sur la participation ou pas de l'opposition aux prochaines élections législatives.
« Plusieurs partis réfléchissent actuellement, et dans les prochains jours feront solennellement une déclaration qui rendra publics les résultats des travaux en cours », a-t-il déclaré.
Avant les conclusions de cette réflexion, Zacharie Myboto a été un peu plus clair. « Nous ne laisserons pas le moindre espace libre à Ali Bongo Ondimba et au Parti démocratique gabonais. C’est évident, mais nous devons le faire avec le maximum de chance de réussite parce que notre réflexion se fait dans l’esprit et la dynamique de l’élection présidentielle de 2016 où nous sommes arrivés à une candidature unique de l’opposition. Parce que nous voulons qu’il y ait véritablement alternance démocratique dans ce pays », a-t-il ajouté.
En 2011, l'opposition avait boycotté les élections législatives pour déficit de transparence électorale. Aujourd'hui, plusieurs voix s'élèvent contre un second boycott qui priverait l'opposition d'une tribune aussi importante que l'Assemblée nationale.
« Plusieurs partis réfléchissent actuellement, et dans les prochains jours feront solennellement une déclaration qui rendra publics les résultats des travaux en cours », a-t-il déclaré.
Avant les conclusions de cette réflexion, Zacharie Myboto a été un peu plus clair. « Nous ne laisserons pas le moindre espace libre à Ali Bongo Ondimba et au Parti démocratique gabonais. C’est évident, mais nous devons le faire avec le maximum de chance de réussite parce que notre réflexion se fait dans l’esprit et la dynamique de l’élection présidentielle de 2016 où nous sommes arrivés à une candidature unique de l’opposition. Parce que nous voulons qu’il y ait véritablement alternance démocratique dans ce pays », a-t-il ajouté.
En 2011, l'opposition avait boycotté les élections législatives pour déficit de transparence électorale. Aujourd'hui, plusieurs voix s'élèvent contre un second boycott qui priverait l'opposition d'une tribune aussi importante que l'Assemblée nationale.