L’association Sherpa et Transparence-international (France) qui avait porté plainte contre ces chefs d’Etat le 2 décembre dernier ont salué, à travers un communiqué parvenu à pressafrik, leur mise en liberté provisoire. Ces deux organisations ont, par ailleurs, demandé le départ rapide au Gabon de l’avocat français Thierry Lévy pour la défense de ces quatre militants anti-corruption.
Selon Sherpa et Transparence-international (France), la libération des quatre acteurs de la société civile gabonaise que sont Grégory Ngbwa Mintsa (fonctionnaire et partie civile aux cotés de Transparence international), Marc Ona Essangui (coordonnateur de la campagne «Publish What You Pay »PWYP au GABON, George Mpaga (président du réseau des organisations libres de la société civile pour la bonne gouvernance au Gabon, et de Gaston Asseko (journaliste à la radio sainte marie ), fait suite à une forte pression internationale. Il y a eu, ces derniers jours, une mobilisation internationale des ONG et des autorités françaises à Paris et à Libreville.
Les quatre militants qui étaient en détention depuis le 31 décembre 2008, ont eu comme avocats Me Ruphin Nkoulou Ondo (gabonais) et Me Thierry Lévy (français). Ce dernier a été privé de visa à la dernière minute ce 8 janvier 2009 alors qu’il s’apprêtait à embarquer pour le Gabon. «Cela constitue une violation de la convention franco-gabonaise sur l’entraide judiciaire de 1963 qui prévoit précisément la possibilité pour les avocats inscrits aux barreaux français d’ «assister ou représenter les parties devant toutes les juridictions gabonaises (…) dans les mêmes conditions que les avocats inscrits aux barreaux du Gabon» (Article 31)» a estimé Sherpa et Transparance-international (France).
Toutefois les charges retenues n’étant pas abandonnées, Sherpa et Transparance-international (France) soutiennent que Thierry Lévy, mandaté par les familles des personnes arrêtées, se voit rapidement délivrer un visa pour la préparation de leur défense.
Deux chefs d’inculpation sont retenus à leur encontre :«détention d’un document en vue de sa diffusion dans le but de propagande» et la «propagande orale ou écrite en vue de l’incitation à la révolte contre les autorités», délits respectivement prévus et réprimés par les articles 88 et 90 du code pénal Gabonais.
Selon Sherpa et Transparence-international (France), la libération des quatre acteurs de la société civile gabonaise que sont Grégory Ngbwa Mintsa (fonctionnaire et partie civile aux cotés de Transparence international), Marc Ona Essangui (coordonnateur de la campagne «Publish What You Pay »PWYP au GABON, George Mpaga (président du réseau des organisations libres de la société civile pour la bonne gouvernance au Gabon, et de Gaston Asseko (journaliste à la radio sainte marie ), fait suite à une forte pression internationale. Il y a eu, ces derniers jours, une mobilisation internationale des ONG et des autorités françaises à Paris et à Libreville.
Les quatre militants qui étaient en détention depuis le 31 décembre 2008, ont eu comme avocats Me Ruphin Nkoulou Ondo (gabonais) et Me Thierry Lévy (français). Ce dernier a été privé de visa à la dernière minute ce 8 janvier 2009 alors qu’il s’apprêtait à embarquer pour le Gabon. «Cela constitue une violation de la convention franco-gabonaise sur l’entraide judiciaire de 1963 qui prévoit précisément la possibilité pour les avocats inscrits aux barreaux français d’ «assister ou représenter les parties devant toutes les juridictions gabonaises (…) dans les mêmes conditions que les avocats inscrits aux barreaux du Gabon» (Article 31)» a estimé Sherpa et Transparance-international (France).
Toutefois les charges retenues n’étant pas abandonnées, Sherpa et Transparance-international (France) soutiennent que Thierry Lévy, mandaté par les familles des personnes arrêtées, se voit rapidement délivrer un visa pour la préparation de leur défense.
Deux chefs d’inculpation sont retenus à leur encontre :«détention d’un document en vue de sa diffusion dans le but de propagande» et la «propagande orale ou écrite en vue de l’incitation à la révolte contre les autorités», délits respectivement prévus et réprimés par les articles 88 et 90 du code pénal Gabonais.