Après 10 jours d'autopsie de l'économie gabonaise, Boileau Yeyinou Loko, qui a conduit la mission du FMI, a adressé un satisfecit au Gabon en pressant tout de même le pays à redoubler d'efforts. « Des progrès importants ont été faits, a-t-il déclaré, beaucoup d’objectifs sur lesquels on s’était entendu ont été réalisés. Maintenant, on doit présenter le dossier au conseil d’administration du FMI le 19 décembre. Pour y arriver, quelques actions préalables restent à faire. »
Selon une bonne source, le FMI recommande au Gabon plus d'efforts dans la collecte des recettes hors pétrole et surtout pour payer sa dette intérieure et extérieure. Malgré ces contraintes, Jean Fidèle Otandault ministre du Budget ne cache pas sa satisfaction : « Le Gabon est en train de récolter le fruit des efforts, des mesures courageuses qui ont été annoncées par le chef de l’Etat. Les comptes sont au vert et nous avons bon espoir que le mois prochain le dossier sera approuvé par le conseil d’administration. »
Si le FMI accorde son quitus en décembre, Libreville encaissera plus de 300 milliards de FCFA de la part de tous les bailleurs de fonds qui appuient son Plan de relance économique.
Selon une bonne source, le FMI recommande au Gabon plus d'efforts dans la collecte des recettes hors pétrole et surtout pour payer sa dette intérieure et extérieure. Malgré ces contraintes, Jean Fidèle Otandault ministre du Budget ne cache pas sa satisfaction : « Le Gabon est en train de récolter le fruit des efforts, des mesures courageuses qui ont été annoncées par le chef de l’Etat. Les comptes sont au vert et nous avons bon espoir que le mois prochain le dossier sera approuvé par le conseil d’administration. »
Si le FMI accorde son quitus en décembre, Libreville encaissera plus de 300 milliards de FCFA de la part de tous les bailleurs de fonds qui appuient son Plan de relance économique.