Ces femmes initiées ont sorti leurs costumes traditionnels de couleur blanche pour un rituel consacré à adoucir le cœur d'Emmanuel Macron, le nouveau président français : « Hollande nous a laissé dans les problèmes. Nous ne voulons pas que Macron laisse le Gabon dans cet état, il faudrait que Macron vienne résoudre les problèmes du Gabon. M. Ping a été élu, il faudrait que l’élection de M. Ping soit respectée ».
Après une procession, elles ont déposé une bouteille remplie de sable devant l'ambassade de France : « Nous avons remis la bouteille de sable, donc notre vie est entre les mains des Français aujourd’hui ».
Vincent Mouléngui Bokosso, un ancien ministre qui a organisé la manifestation a soutenu qu’il ne s’agit pas de revigorer la Françafrique : « Là, nous voulons tout simplement que monsieur Macron ait un comportement anti-dictateur. C’est tout ce que nous voulons ».
« Ridicule » pour le pouvoir
C'est ridicule a riposté le ministre de la Communication, Alain Claude Bilie By Nze : « Si, soixante ans après, un opposant comme Jean Ping en est à réclamer à l’ancienne puissance coloniale de rétablir ce qu’il appelle la vérité des urnes au Gabon, ça veut dire qu’il est ridicule et qu’il n’a rien compris aux changements intervenus, y compris dans son propre pays ».
Aucun déploiement policier n'a été constaté. Les manifestants sont rapidement rentrés à la maison.
Après une procession, elles ont déposé une bouteille remplie de sable devant l'ambassade de France : « Nous avons remis la bouteille de sable, donc notre vie est entre les mains des Français aujourd’hui ».
Vincent Mouléngui Bokosso, un ancien ministre qui a organisé la manifestation a soutenu qu’il ne s’agit pas de revigorer la Françafrique : « Là, nous voulons tout simplement que monsieur Macron ait un comportement anti-dictateur. C’est tout ce que nous voulons ».
« Ridicule » pour le pouvoir
C'est ridicule a riposté le ministre de la Communication, Alain Claude Bilie By Nze : « Si, soixante ans après, un opposant comme Jean Ping en est à réclamer à l’ancienne puissance coloniale de rétablir ce qu’il appelle la vérité des urnes au Gabon, ça veut dire qu’il est ridicule et qu’il n’a rien compris aux changements intervenus, y compris dans son propre pays ».
Aucun déploiement policier n'a été constaté. Les manifestants sont rapidement rentrés à la maison.
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