Les organisations de défense des droits de l’homme sous la houlette d’Amnesty international Sénégal, ARTICLE 19 Afrique de l'Ouest, la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO), la Ligue Sénégalaise des Droits Humains (L.S.D.H.), l’Organisation Nationale des Droits de l’Homme (ONDH), le Forum du Justiciable (FJ) et le GRA REDEP, étaient dans la rue hier dans le cadre d’un grand rassemblement pour protester contre la répression violente et l’emprisonnement de manifestants pacifiques par le régime du Président Yahya Jammeh en Gambie.
«Nous exigeons qu’une enquête indépendante soit menée pour situer les responsabilités dans la mort de Solo Sandeng et que les responsables de ce crimes honteux soient traduits en justice», lance Seydi Gassama, secrétaire exécutif d’Amnesty international section Sénégal.
Embouchant la même trompette, Fatou Jeanne Senghor indique qu’«au moment où on vous parle plus de quatre (4) personnes sont portées disparues ». «On ne sait pas où est-ce qu’elles sont. Une personne a été tuée et plus de 30 opposants sont en prison juste pour avoir manifesté leur souhait de réformer le code électoral », assure la directrice régionale de l'Ong article 19.
«La mission première d’un gouvernement, c’est d’assurer la sécurité des citoyens et le bien-être de ces populations et non pas d’être le bourreau de son peuple et nous espérons qu’il recevra ce signal, qu’il saura décrypter ces messages qui lui sont lancés et tôt ou tard il répondra de ses crimes », scande pour sa part, Me Assane Dioma Ndiaye de la LSDH.
«Nous exigeons qu’une enquête indépendante soit menée pour situer les responsabilités dans la mort de Solo Sandeng et que les responsables de ce crimes honteux soient traduits en justice», lance Seydi Gassama, secrétaire exécutif d’Amnesty international section Sénégal.
Embouchant la même trompette, Fatou Jeanne Senghor indique qu’«au moment où on vous parle plus de quatre (4) personnes sont portées disparues ». «On ne sait pas où est-ce qu’elles sont. Une personne a été tuée et plus de 30 opposants sont en prison juste pour avoir manifesté leur souhait de réformer le code électoral », assure la directrice régionale de l'Ong article 19.
«La mission première d’un gouvernement, c’est d’assurer la sécurité des citoyens et le bien-être de ces populations et non pas d’être le bourreau de son peuple et nous espérons qu’il recevra ce signal, qu’il saura décrypter ces messages qui lui sont lancés et tôt ou tard il répondra de ses crimes », scande pour sa part, Me Assane Dioma Ndiaye de la LSDH.
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