Parmi les 40 manifestants arrêtés en Gambie, deux femmes seraient violées et arrêtées par les forces gambiennes. « Nous savons de sources sûr, aujourd’hui, que des manifestants arrêtés ont été violés par les forces gambiennes. Les autres sont aussi dans des conditions critiques. Les militaires n’ont pas respecté les procédures d’arrestation qui consistent à interroger l’accusé, mais aussi le droit à un avocat pour sa défense », souligne le porte-parole de l’opposition gambienne.
Selon Me Ahmady Faty, cette situation était prévisible. « Mardi passé j’avais écrit une lettre à Yaya Jammeh. C’était quelque chose de confidentielle. Trois raisons ont été notées : demander pardons au peuple gambien, cultiver la démocratie et en fin craindre Dieu. Mais, il ne nous a même pas écoutés. Il a fait ce qu’il veut. Et voila les résultats ».
C’est un combat du peuple et non un coup d’Etat, a précisé Me Faty : « L’opposition tient à préciser qu’il ne s’agit pas de coup d’Etat, mais de marche pacifique de la population qui réclament leur droit ». Il soutient que le chef de l’Etat Sénégalais Macky Sall, président de la CEDEAO a une part de responsabilité dans cette crise gambienne. Pour terminer, Me Ahmady Faty a fait appel à la Raddho et à la CEDEAO pour le respect des Droits humains.
Selon Me Ahmady Faty, cette situation était prévisible. « Mardi passé j’avais écrit une lettre à Yaya Jammeh. C’était quelque chose de confidentielle. Trois raisons ont été notées : demander pardons au peuple gambien, cultiver la démocratie et en fin craindre Dieu. Mais, il ne nous a même pas écoutés. Il a fait ce qu’il veut. Et voila les résultats ».
C’est un combat du peuple et non un coup d’Etat, a précisé Me Faty : « L’opposition tient à préciser qu’il ne s’agit pas de coup d’Etat, mais de marche pacifique de la population qui réclament leur droit ». Il soutient que le chef de l’Etat Sénégalais Macky Sall, président de la CEDEAO a une part de responsabilité dans cette crise gambienne. Pour terminer, Me Ahmady Faty a fait appel à la Raddho et à la CEDEAO pour le respect des Droits humains.