Dans un communiqué parvenu à Pressafrik.com, le Haut-Commissaire des Nations Unies pour les Droits de l’Homme, s’exprime sur la situation en Gambie. «La mort du leader de l’opposition, Solo Sandeng, alors qu’il était en détention, est une nouvelle profondément inquiétante et j’enjoins les autorités de la Gambie de faire en sorte qu’une enquête indépendante et minutieuse soit menée immédiatement afin que les auteurs du crime soient traduits en justice », déclare Zeid Ra’ad Al Hussein.
Pis, selon ce dernier, «il y a aussi des rapports avançant la mort de deux autres membres de l’opposition en détention, le jeudi, suite à leur arrestation durant des manifestations à Banjul. D’autres personnes arrêtées le même jour seraient gravement blessées. Je rappelle aux autorités leur obligation de s’assurer que ces individus reçoivent une assistance médicale dans les meilleurs délais et que la population Gambienne n’aie pas été l’objet de torture et de mauvais traitements».
«La mort de M. Sandeng a mis en lumière l’environnement pré-électoral préoccupant en Gambie, avec des rapports faisant état d’annulations forcées de manifestations pacifiques et d’arrestations et mauvais traitements infligés à de nombreux manifestants et membres de l’opposition. Le respect des droits à la liberté de réunion pacifique et d’expression est indispensable particulièrement dans un contexte pré-électoral. Les autorités Gambiennes ont le devoir de s’assurer que la conduite des forces de l’ordre respecte les standards internationaux de droits de l’Homme. Toute allégation d’utilisation de force excessive doit faire l’objet d’une enquête indépendante», prévient le Haut-Commissaire des Nations Unies pour les Droits de l’Homme.
Pis, selon ce dernier, «il y a aussi des rapports avançant la mort de deux autres membres de l’opposition en détention, le jeudi, suite à leur arrestation durant des manifestations à Banjul. D’autres personnes arrêtées le même jour seraient gravement blessées. Je rappelle aux autorités leur obligation de s’assurer que ces individus reçoivent une assistance médicale dans les meilleurs délais et que la population Gambienne n’aie pas été l’objet de torture et de mauvais traitements».
«La mort de M. Sandeng a mis en lumière l’environnement pré-électoral préoccupant en Gambie, avec des rapports faisant état d’annulations forcées de manifestations pacifiques et d’arrestations et mauvais traitements infligés à de nombreux manifestants et membres de l’opposition. Le respect des droits à la liberté de réunion pacifique et d’expression est indispensable particulièrement dans un contexte pré-électoral. Les autorités Gambiennes ont le devoir de s’assurer que la conduite des forces de l’ordre respecte les standards internationaux de droits de l’Homme. Toute allégation d’utilisation de force excessive doit faire l’objet d’une enquête indépendante», prévient le Haut-Commissaire des Nations Unies pour les Droits de l’Homme.
Autres articles
-
La Poste doit près de 3 milliards FCFA à la Mecap
-
Pire-Mékhé : un accident de la route fait un mort et 5 blessés
-
Rebeuss: Ameth Ndoye occupe la chambre 27
-
Crue du fleuve Sénégal : la Banque mondiale mobilise plus d'un milliard de F CFA en équipements et matériels pour les sinistrés
-
Diouloulou : le lycée et le CEM cambriolés, une somme de 30.000 Fcfa et un ordinateur emportés