
L'exécution par injection létale de Djibril Bah et Tabara Samba dimanche dernier, a fait sortir les organisations des droits de l’Homme de leur gond. En effet, si le président de la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO), Alioune Tine s’indigne « d’une telle cruauté », le directeur de Amnesty International Sénégal, Seydi Gassama qui parle d’un « acte irrationnel », dénonce le « mutisme coupable » du gouvernement sénégalais face aux « dérives » du président Jammeh.
Pour sa part, le chef de l’Etat gambien soutient que cette exécution n’est pas fortuite et sonne comme un signal fort à ses administrés et à la Communauté internationale. « La primauté du droit en ce qui concerne la paix, la stabilité et la protection des vies, des biens et de la liberté, ne sera compromise pour une quelconque raison », avertit un communiqué du ministre gambien de l’Intérieur parcouru par le journal « L’observateur ».
Pour sa part, le chef de l’Etat gambien soutient que cette exécution n’est pas fortuite et sonne comme un signal fort à ses administrés et à la Communauté internationale. « La primauté du droit en ce qui concerne la paix, la stabilité et la protection des vies, des biens et de la liberté, ne sera compromise pour une quelconque raison », avertit un communiqué du ministre gambien de l’Intérieur parcouru par le journal « L’observateur ».
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