Pour l’heure, les forces de sécurité se gardent de désigner un responsable. Elles disent avoir « sous la main de premières informations » sur ces deux attentats et leurs auteurs et assurent qu’elles « poursuivent leurs enquêtes ». Mais c’est bien vers les groupes les plus radicaux de l’enclave palestinienne qu’elles s’orientent.
Postes de contrôle attaqués
Depuis plusieurs années, les forces de sécurité ont installé des postes de contrôle sur les principales routes de la bande de Gaza. Ce sont deux d’entre eux qui ont été la cible de ces attaques la nuit dernière. Le mode opératoire des assaillants n’a pas été confirmé, mais plusieurs médias évoquent des attaques suicides. Le chef du bureau politique du Hamas, Ismaïl Hanyeh, estime que ces « attentats visent à saper la stabilité de la bande de Gaza » et demande le soutien de la population aux forces de l’ordre.
L’ensemble des factions palestiniennes a condamné ces attaques. Mais dans le passé, plusieurs explosions ont été imputées à des groupes salafistes. Ce fut le cas d’un attentat-suicide à la frontière entre la bande de Gaza et l’Égypte en août 2017 ainsi que celle de la voiture du chef des forces de sécurité dans l’enclave, deux mois plus tard.
Postes de contrôle attaqués
Depuis plusieurs années, les forces de sécurité ont installé des postes de contrôle sur les principales routes de la bande de Gaza. Ce sont deux d’entre eux qui ont été la cible de ces attaques la nuit dernière. Le mode opératoire des assaillants n’a pas été confirmé, mais plusieurs médias évoquent des attaques suicides. Le chef du bureau politique du Hamas, Ismaïl Hanyeh, estime que ces « attentats visent à saper la stabilité de la bande de Gaza » et demande le soutien de la population aux forces de l’ordre.
L’ensemble des factions palestiniennes a condamné ces attaques. Mais dans le passé, plusieurs explosions ont été imputées à des groupes salafistes. Ce fut le cas d’un attentat-suicide à la frontière entre la bande de Gaza et l’Égypte en août 2017 ainsi que celle de la voiture du chef des forces de sécurité dans l’enclave, deux mois plus tard.