"Le but de notre mission, c'était de convaincre le Hamas d'arrêter ses bombardements sur Israël", a-t-il insisté. "Nous avons encore beaucoup de travail devant nous et il nous faut continuer notre action militaire". Une offensive terrestre "n'est pas exclue mais il y a d'autre moyens: nous possédons une supériorité aérienne que nous entendons bien utiliser (...) mais il y a aussi la possibilité d'une expansion de notre action", a-t-il dit.
"Nous ne voulons plus de trêves transitoires ou temporaires que le Hamas utilise pour mieux s'armer. Nous voulons un cessez-le-feu permanent qui permette aux habitants du sud d'Israël de vivre en paix et en sécurité comme ils en ont le droit", a encore expliqué Avi Pazner.
"Il n'est pas exclu que Nicolas Sarkozy et la France aient un rôle au-delà de la présidence française de l'Union européenne", a-t-il ajouté alors que le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner n'a pas exclu que le président français se rende en Israël en début de semaine. Mardi soir, les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne avaient appelé à un cessez-le-feu immédiat et permanent dans la Bande de Gaza.
"Nous ne voulons plus de trêves transitoires ou temporaires que le Hamas utilise pour mieux s'armer. Nous voulons un cessez-le-feu permanent qui permette aux habitants du sud d'Israël de vivre en paix et en sécurité comme ils en ont le droit", a encore expliqué Avi Pazner.
"Il n'est pas exclu que Nicolas Sarkozy et la France aient un rôle au-delà de la présidence française de l'Union européenne", a-t-il ajouté alors que le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner n'a pas exclu que le président français se rende en Israël en début de semaine. Mardi soir, les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne avaient appelé à un cessez-le-feu immédiat et permanent dans la Bande de Gaza.