Le gouvernement du président géorgien Mikheil Saakachvili (photo) est accusé d'avoir autorisé des actes de torture.
Tout commence en début de semaine lorsque le ministère de l’Intérieur annonce la découverte d’une cache d’armes dans l’ouest du pays. Ce serait l’ancien gouvernement, celui du très pro-occidental président Saakachvili, qui l’aurait établie.
L’affaire tourne au scandale quand les autorités affirment que des vidéos ont aussi été retrouvées dans cette cache. Les images montrant deux prisonniers torturés et violés, pour leur arracher des aveux dans une histoire de terrorisme.
Pour le nouveau gouvernement, il s’agit une nouvelle preuve de la « nature systématique » de cette pratique, sous les précédentes autorités, qualifiées de sadiques. Montrées aux diplomates du pays, ainsi qu’à des associations et des journalistes, l’intention politique du nouveau gouvernement a été questionnée.
Cette nouvelle polémique intervient alors que le nouveau gouvernement affiche une volonté de réduire l’opposition à néant. Il compte pour cela s’appuyer sur un certain nombre de crimes et de violations de la loi qu’elle aurait commises lorsqu’elle était aux commandes du pays. Le chef du parti présidentiel, l’ancien Premier ministre Vano Merabichvili, est d’ailleurs en prison depuis fin mai.
Source : Rfi.fr
L’affaire tourne au scandale quand les autorités affirment que des vidéos ont aussi été retrouvées dans cette cache. Les images montrant deux prisonniers torturés et violés, pour leur arracher des aveux dans une histoire de terrorisme.
Pour le nouveau gouvernement, il s’agit une nouvelle preuve de la « nature systématique » de cette pratique, sous les précédentes autorités, qualifiées de sadiques. Montrées aux diplomates du pays, ainsi qu’à des associations et des journalistes, l’intention politique du nouveau gouvernement a été questionnée.
Cette nouvelle polémique intervient alors que le nouveau gouvernement affiche une volonté de réduire l’opposition à néant. Il compte pour cela s’appuyer sur un certain nombre de crimes et de violations de la loi qu’elle aurait commises lorsqu’elle était aux commandes du pays. Le chef du parti présidentiel, l’ancien Premier ministre Vano Merabichvili, est d’ailleurs en prison depuis fin mai.
Source : Rfi.fr