La tension monte au Ghana après le deuxième tour
Depuis ce mercredi matin, les routes de la petite région agricole sont parcourues de camions aux couleurs des deux partis. Des estrades sont installées un peu partout, et les meetings du NDC et du NPP se succèdent. John Atta-Mills est sur place depuis mercredi matin et Nana Akufo-Addo depuis mercredi soir.
Ce vendredi, Taïn sera le nombril du Ghana, les observateurs internationaux seront tous présents, ceux de la société civile ghanéenne aussi. John Lavi coordonne leurs activités : « Nous avions recommandé dans nos précédents rapports que la commission électorale fasse son travail jusqu’au bout et se rende à Taïn où il n’y a pas eu d’élection, pour l’organiser… Elle a décidé de le faire, nous y allons donc avec toute notre équipe et serons dans les 144 bureaux de vote de là bas, vendredi… »
Les forces de sécurité ont été renforcées pour l'occasion et les 53 000 électeurs de la circonscription iront voter sous haute surveillance, mais pas sous pression, selon Papa Quasimdom, l’un des candidats battus au premier tour. « D’habitude c’était une ou deux régions qui décidaient du tour que prenaient les élections, cette fois c’est tombé sur eux, mais ils ne sont pas sous pression, c’est leur responsabilité et leur droit ».
Un droit qui vaut de l’or aux yeux des deux candidats. En attendant leur visite, les fermiers ont déserté les plantations.
Source: Rfi
Ce vendredi, Taïn sera le nombril du Ghana, les observateurs internationaux seront tous présents, ceux de la société civile ghanéenne aussi. John Lavi coordonne leurs activités : « Nous avions recommandé dans nos précédents rapports que la commission électorale fasse son travail jusqu’au bout et se rende à Taïn où il n’y a pas eu d’élection, pour l’organiser… Elle a décidé de le faire, nous y allons donc avec toute notre équipe et serons dans les 144 bureaux de vote de là bas, vendredi… »
Les forces de sécurité ont été renforcées pour l'occasion et les 53 000 électeurs de la circonscription iront voter sous haute surveillance, mais pas sous pression, selon Papa Quasimdom, l’un des candidats battus au premier tour. « D’habitude c’était une ou deux régions qui décidaient du tour que prenaient les élections, cette fois c’est tombé sur eux, mais ils ne sont pas sous pression, c’est leur responsabilité et leur droit ».
Un droit qui vaut de l’or aux yeux des deux candidats. En attendant leur visite, les fermiers ont déserté les plantations.
Source: Rfi
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