La Ghana Fact-Checking Coalition rassemble plus de 50 fact-checkers (un « vérificateur de faits » en français) répartis dans l’ensemble du Ghana, en partenariat avec une centaine de médias qui traduisent les vérifications d’infos en langues locales.
Une alliance plus que jamais nécessaire en 2024, selon Kwaku Krobea Asante, l’un des fondateurs de l’initiative. « La mésinformation et la désinformation augmentent. Les gens ont de plus en plus accès aux réseaux sociaux et aux logiciels de montages, et à l’intelligence artificielle et sa capacité à générer des contenus », explique-t-il.
Prévenir la propagation de fausses informations
Outre les correspondants régionaux, des salles de crises médiatiques vont être installées du 4 au 11 décembre, dans deux endroits : à Accra, la capitale, mais aussi à Tamale, l’une des plus grandes villes du nord du pays. Impératif pour être au plus près de l’action.
« Pour la première fois, les deux principaux candidats viennent des régions du nord du Ghana. Nous avons vu comment la jeunesse là-bas réagit à la campagne qui peut être très tendue dans ces zones. Ces régions connaissent également de nombreux conflits de chefferies et des conflits ethniques », note Kwaku Krobea Asante.
Fact-Check Ghana, Dubawa et Ghana Fact espèrent ainsi prévenir la propagation virale de fausses nouvelles, et donc, empêcher les éventuelles violences qui peuvent en découler. En 2020, huit personnes ont été tuées lors d’affrontements le jour de l’élection.
Une alliance plus que jamais nécessaire en 2024, selon Kwaku Krobea Asante, l’un des fondateurs de l’initiative. « La mésinformation et la désinformation augmentent. Les gens ont de plus en plus accès aux réseaux sociaux et aux logiciels de montages, et à l’intelligence artificielle et sa capacité à générer des contenus », explique-t-il.
Prévenir la propagation de fausses informations
Outre les correspondants régionaux, des salles de crises médiatiques vont être installées du 4 au 11 décembre, dans deux endroits : à Accra, la capitale, mais aussi à Tamale, l’une des plus grandes villes du nord du pays. Impératif pour être au plus près de l’action.
« Pour la première fois, les deux principaux candidats viennent des régions du nord du Ghana. Nous avons vu comment la jeunesse là-bas réagit à la campagne qui peut être très tendue dans ces zones. Ces régions connaissent également de nombreux conflits de chefferies et des conflits ethniques », note Kwaku Krobea Asante.
Fact-Check Ghana, Dubawa et Ghana Fact espèrent ainsi prévenir la propagation virale de fausses nouvelles, et donc, empêcher les éventuelles violences qui peuvent en découler. En 2020, huit personnes ont été tuées lors d’affrontements le jour de l’élection.