Véritable théorie du complot ou coup de pub savamment réfléchi ? Difficile d’en dire plus, même si les indices penchent pour la première option. L’artiste français Gims a sorti une nouvelle chanson ce jeudi soir, intitulée « Hernan Cortès », quelques jours seulement après avoir fait un bad buzz en affirmant publiquement que les pyramides égyptiennes servaient d’antennes pour fournir de l’électricité.
Sur la couverture du titre diffusé sur YouTube, on peut voir les trois pyramides et leurs sommets bien dorés - ce qui servait d’arguments au chanteur puisque l’or est conducteur d’électricité. Mais l’artiste avait-il savamment préparé son coup ? Pas vraiment si l’on écoute son single, aux sonorités très rap, jusqu’au bout. L’artiste y a glissé les réactions des médias à ses propos polémiques tout à la fin. Preuve que le single a été terminé extrêmement récemment.
« Tout l’monde a son propre discours »
On entend alors plusieurs journalistes non reconnaissables critiquer le chanteur - « Sur un dérapage complotiste d’une personnalité et pas n’importe laquelle, c’est Gims », « Gims qui, il faut bien le dire, a plus ou moins dérapé » - juste avant que le titre s’arrête, sans réponse du chanteur derrière.
En plus de ce clin d’œil, on peut retrouver plusieurs tacles bien sentis qui font écho à la polémique. « J’dis plus rien, vous aimez trop sortir mes mots d’leur contexte », lance le chanteur après avoir rappé : « la vérité : tout l’monde a son propre discours » ou encore « on court tous à l’opposé malgré les signes avant-coureurs ».
Sur la couverture du titre diffusé sur YouTube, on peut voir les trois pyramides et leurs sommets bien dorés - ce qui servait d’arguments au chanteur puisque l’or est conducteur d’électricité. Mais l’artiste avait-il savamment préparé son coup ? Pas vraiment si l’on écoute son single, aux sonorités très rap, jusqu’au bout. L’artiste y a glissé les réactions des médias à ses propos polémiques tout à la fin. Preuve que le single a été terminé extrêmement récemment.
« Tout l’monde a son propre discours »
On entend alors plusieurs journalistes non reconnaissables critiquer le chanteur - « Sur un dérapage complotiste d’une personnalité et pas n’importe laquelle, c’est Gims », « Gims qui, il faut bien le dire, a plus ou moins dérapé » - juste avant que le titre s’arrête, sans réponse du chanteur derrière.
En plus de ce clin d’œil, on peut retrouver plusieurs tacles bien sentis qui font écho à la polémique. « J’dis plus rien, vous aimez trop sortir mes mots d’leur contexte », lance le chanteur après avoir rappé : « la vérité : tout l’monde a son propre discours » ou encore « on court tous à l’opposé malgré les signes avant-coureurs ».