Un cycliste devant le quartier général de Google à Pékin, le 21 mars 2010.
La Maison Blanche regrette qu’un accord n’ait pu être trouvé entre Google et Pékin. Google ne quitte pas la Chine mais refuse désormais d’obéir au gouvernement de Pékin qui lui demande de censurer les informations disponibles sur ses sites. La société californienne vient donc de modifier son réseau : tous les Chinois de Chine populaire qui utilisent Google se retrouvent désormais sur le site de Google à Hong Kong, qui lui n’est pas frappé d’obligation de censure.
Google sait parfaitement que les autorités chinoises pourront bloquer l’accès du site de Google-Hong Kong aux internautes de leur pays. Google qui compte 600 employés en Chine souhaite y poursuivre ses activités notamment en matière de recherche et développement.
Choqué par les demandes d’autocensure, par le piratage de ses serveurs, ainsi que le piratage du courrier électronique d’opposants au régime, utilisateurs des services de Google, le géant du secteur d’internet tente toutefois d’éviter une confrontation directe avec Pékin. Il espère par ailleurs vendre en Chine le Nexus, son nouveau téléphone portable.
Google sait parfaitement que les autorités chinoises pourront bloquer l’accès du site de Google-Hong Kong aux internautes de leur pays. Google qui compte 600 employés en Chine souhaite y poursuivre ses activités notamment en matière de recherche et développement.
Choqué par les demandes d’autocensure, par le piratage de ses serveurs, ainsi que le piratage du courrier électronique d’opposants au régime, utilisateurs des services de Google, le géant du secteur d’internet tente toutefois d’éviter une confrontation directe avec Pékin. Il espère par ailleurs vendre en Chine le Nexus, son nouveau téléphone portable.