Ce jeudi, lors du lancement du projet Grand transfert d’eau (GTE) à Dakar, Cheikh Tidiane Dièye, ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, a dévoilé « l’ambitieux programme » du gouvernement pour garantir un accès équitable à l’eau potable à travers tout le Sénégal. Le projet, initié par le président de la République, vise à assurer un approvisionnement en eau potable et multi-usage (pour l’agriculture, l’élevage, la pêche et l’industrie) dans toutes les régions du pays. « Partout où un Sénégalais vivra, qu’il ait de l’eau potable en quantité et en qualité suffisante », a-t-il déclaré.
Le Grand transfert d’eau (GTE), tiré du lac de Guiers, vise à répondre de manière durable aux besoins en eau du triangle Dakar-Mbour-Thiès et Touba. Le ministre a précisé que « des phases supplémentaires sont déjà en préparation pour couvrir d’autres zones stratégiques. Par exemple, le champ captant de Malem Odar devrait fournir de l’eau aux grandes villes du bassin arachidier, incluant Kaffrine, Kaolack, Fatick, Gossas, et Diourbel. Cette eau ne sera plus simplement acheminée vers les centres urbains, mais également mise à disposition des villages traversés par les canalisations principales, une approche qui marque une rupture avec les pratiques actuelles. »
M. Dièye a annoncé que d’autres projets d’envergure sont également en cours, notamment dans la région de Bakel et ses marigots, et dans le Ferlo pour l’agriculture et l’élevage. Le ministre a également mentionné le barrage de Sambangalou en Gambie. « En Gambie avec mes collègues, nous avons parlé d'un projet extrêmement intéressant et important, qui est le barrage de Sambangalu, qui était à l'arrêt pour différentes raisons. Nous y travaillons d'arrache-pied pour le relancer sur de nouvelles bases, plus qu'en plus de produire de l'électricité. Ce barrage permettra également d'irriguer au moins 40 000 hectares au Sénégal, dans la zone du bassin arachidier », a-t-il indiqué.
Ce dernier a également précisé que l’accent sera mis sur les eaux de surface afin de préserver les nappes phréatiques pour des réserves stratégiques. « Nous avons des champs captants à Sédhiou, en Casamance, nous en avons un peu partout. Et toute cette eau ne restera plus là où elle est. Nous privilégierons les eaux de surface, puisqu'il faut atténuer les effets sur nos nappes et en faire des réserves stratégiques, puisque nous avons, beaucoup d'eau de surface », a affirmé M. Dieye.
Le ministre a souligné l’engagement du gouvernement à mobiliser les moyens nécessaires en s’appuyant sur une planification intelligente et stratégique pour répondre aux défis hydrauliques du pays.
Le Grand transfert d’eau (GTE), tiré du lac de Guiers, vise à répondre de manière durable aux besoins en eau du triangle Dakar-Mbour-Thiès et Touba. Le ministre a précisé que « des phases supplémentaires sont déjà en préparation pour couvrir d’autres zones stratégiques. Par exemple, le champ captant de Malem Odar devrait fournir de l’eau aux grandes villes du bassin arachidier, incluant Kaffrine, Kaolack, Fatick, Gossas, et Diourbel. Cette eau ne sera plus simplement acheminée vers les centres urbains, mais également mise à disposition des villages traversés par les canalisations principales, une approche qui marque une rupture avec les pratiques actuelles. »
M. Dièye a annoncé que d’autres projets d’envergure sont également en cours, notamment dans la région de Bakel et ses marigots, et dans le Ferlo pour l’agriculture et l’élevage. Le ministre a également mentionné le barrage de Sambangalou en Gambie. « En Gambie avec mes collègues, nous avons parlé d'un projet extrêmement intéressant et important, qui est le barrage de Sambangalu, qui était à l'arrêt pour différentes raisons. Nous y travaillons d'arrache-pied pour le relancer sur de nouvelles bases, plus qu'en plus de produire de l'électricité. Ce barrage permettra également d'irriguer au moins 40 000 hectares au Sénégal, dans la zone du bassin arachidier », a-t-il indiqué.
Ce dernier a également précisé que l’accent sera mis sur les eaux de surface afin de préserver les nappes phréatiques pour des réserves stratégiques. « Nous avons des champs captants à Sédhiou, en Casamance, nous en avons un peu partout. Et toute cette eau ne restera plus là où elle est. Nous privilégierons les eaux de surface, puisqu'il faut atténuer les effets sur nos nappes et en faire des réserves stratégiques, puisque nous avons, beaucoup d'eau de surface », a affirmé M. Dieye.
Le ministre a souligné l’engagement du gouvernement à mobiliser les moyens nécessaires en s’appuyant sur une planification intelligente et stratégique pour répondre aux défis hydrauliques du pays.