
Bus Dakar Dem Dikk, Tata et même cars rapides et ndiaga ndiaye constituent ce lundi matin des denrées rares. Certains usagers à défaut de solutions n’hésitent pas à emprunter la marche, tandis que d’autres sont contraints de rebrousser chemin.
A cet effet, la route, orpheline de ses véhicules, se trouvent prise d’assaut par une marée humaine en quête désespérée de solutions. Le manque de communication dans cette grève est ce que déplorent beaucoup, même si certains admettent avoir été mis au parfum.
Du côté des transporteurs, la hausse du prix du carburant explique l’origine de cette grève. Toutefois, la violence est redoutée dans ce secteur, car le syndicat des chauffeurs en grève est formel et déterminé à en découdre avec les chauffeurs qui s’entêteront de poursuivre leur travail.
Avec cette grève à l’improviste pour beaucoup en ce début de semaine, le travail peinera à prendre son cours normal.
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