Une dette qui serait à l’origine des retards intempestifs des salaires du personnel. « Cette convention a généré 26 milliards au bénéfice de Dakar dem dikk et 19 milliards d’impôts que DDD doit à l’Etat » a indiqué le Secrétaire général de l’Union des travailleurs de ladite société, Mamadou Goudiaby, sur les ondes de radio Sénégal, repris par le journal « Sud Quotidien ».
« Donc, on a des dettes qui ont fait l’objet de négociations avec l’ancien régime. Les mêmes négociations sont reprises avec les nouvelles autorités. En faisant un croisement des dettes, l’Etat nous doit 7 milliards en dehors des 4 milliards votés par l’Assemblée nationale », a-t-il expliqué.
Cependant, les travailleurs peinent à bénéficier d’une couverture sanitaire idoine en cas de besoin avec l’Institut de prévoyances maladies (Ipm) et demande à l’Etat de prendre les dispositions nécessaires pour que la situation se décante une bonne fois. « On nous refoule de tous les hôpitaux et de toutes les pharmacies. On veut que cela cesse. Ce qui est urgent, c’est le paiement des salaires dans un délai de 24 ou 48 heures et l’ouverture immédiate de négociations dans le cadre de l’application du rapport de la cour de vérification des comptes » a soutenu Mamadou Goudiaby.
Cette journée de grève a été durement ressentie par les usagers qui ont été obligés à payer parfois multiplier à 3 voire 5 le coût de leurs déplacements dans la journée.
« Donc, on a des dettes qui ont fait l’objet de négociations avec l’ancien régime. Les mêmes négociations sont reprises avec les nouvelles autorités. En faisant un croisement des dettes, l’Etat nous doit 7 milliards en dehors des 4 milliards votés par l’Assemblée nationale », a-t-il expliqué.
Cependant, les travailleurs peinent à bénéficier d’une couverture sanitaire idoine en cas de besoin avec l’Institut de prévoyances maladies (Ipm) et demande à l’Etat de prendre les dispositions nécessaires pour que la situation se décante une bonne fois. « On nous refoule de tous les hôpitaux et de toutes les pharmacies. On veut que cela cesse. Ce qui est urgent, c’est le paiement des salaires dans un délai de 24 ou 48 heures et l’ouverture immédiate de négociations dans le cadre de l’application du rapport de la cour de vérification des comptes » a soutenu Mamadou Goudiaby.
Cette journée de grève a été durement ressentie par les usagers qui ont été obligés à payer parfois multiplier à 3 voire 5 le coût de leurs déplacements dans la journée.