En rogne contre l’Etat, les étudiants de la promotion 2013 de la Faculté des sciences et technologies de l'éducation et de la formation (Fastef) ont entamé une grève de la faim depuis la nuit du vendredi au samedi 22 décembre. Cette diète est, selon eux, une façon de dénoncer le non-respect par l’Etat des engagements pris concernant leur recrutement.
«C’est notre énième grève de la faim parce que depuis 2013, après avoir terminé notre formation, un nombre a été recruté parmi nous, laissant en rade le reste. Ce qui est injuste», dénonce Alfousseini Keita, coordonnateur du collectif des grévistes.
A l’en croire, des personnes ayant suivi la même formation doivent être traitées de la même manière. Poursuivant, M. Keita martèle : «actuellement nous sommes à notre 5e année de chômage et entre temps, le président de la République a donné des instructions à notre ministère de tutelle pour notre recrutement. Cela n’a pas été fait.»
Raison pour laquelle, informe-t-il, «cette fois-ci, nous sommes prêts à y laisser notre vie, mais nous ne reculerons pas.»
Ces grévistes avaient déjà entamée la même action en 2016, mais ils l’avaient interrompue après les interventions de bonnes volontés telles que le Médiateur de la République, Me Alioune Badara Cissé, Hélène Tine entre autres.
«C’est notre énième grève de la faim parce que depuis 2013, après avoir terminé notre formation, un nombre a été recruté parmi nous, laissant en rade le reste. Ce qui est injuste», dénonce Alfousseini Keita, coordonnateur du collectif des grévistes.
A l’en croire, des personnes ayant suivi la même formation doivent être traitées de la même manière. Poursuivant, M. Keita martèle : «actuellement nous sommes à notre 5e année de chômage et entre temps, le président de la République a donné des instructions à notre ministère de tutelle pour notre recrutement. Cela n’a pas été fait.»
Raison pour laquelle, informe-t-il, «cette fois-ci, nous sommes prêts à y laisser notre vie, mais nous ne reculerons pas.»
Ces grévistes avaient déjà entamée la même action en 2016, mais ils l’avaient interrompue après les interventions de bonnes volontés telles que le Médiateur de la République, Me Alioune Badara Cissé, Hélène Tine entre autres.
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