L’ancien ministre de l’éducation national Kalidou Diallo est d’avis que, le président de la république Macky Sall ne s’implique pas trop dans la grève des enseignants. Selon lui, l’Etat doit privilégier le Dialogue et la concertation, «il faut que le président de la république prenne en personne, cela en main parce que ce n’est pas seulement le ministre de l’Education. Même si c’est lui qui gère, ce n’est pas lui qui règle les principales revendications ». A déclaré Kalidou Diallo dans les colonnes de l’observateur.
Il a ajouté en outre que le ministre de l’éducation n’a pas d’autorité sur le ministre des finance, sur le ministre de la fonction publique. D’après lui, il faut il faut que le président ou le premier ministre s’implique. « Les syndicats tiennent à cela, j’ai le sentiment que le président de la république laisse trop faire, il ne s’implique pas et on perd du temps » soutient l’ancien ministre de l’éducation nationale.
Kalidou Diallo a soutenu par ailleurs qu’il y na eu un problème de coaching du ministre de l’enseignement supérieur (Mary Teuw Niane) depuis le début des concertations jusqu’à sa mise en œuvre. « Il me semble qu’il y a une sorte de précipitation qui ne dit pas son nom, c’est la manière dont cela a été ménagé qui pose problème. Je me demande si les députés étaient de bonne foi au moment du vote, ou c’est une simple ignorance, mais c’est assez bizarre » dit-il.
Il a ajouté en outre que le ministre de l’éducation n’a pas d’autorité sur le ministre des finance, sur le ministre de la fonction publique. D’après lui, il faut il faut que le président ou le premier ministre s’implique. « Les syndicats tiennent à cela, j’ai le sentiment que le président de la république laisse trop faire, il ne s’implique pas et on perd du temps » soutient l’ancien ministre de l’éducation nationale.
Kalidou Diallo a soutenu par ailleurs qu’il y na eu un problème de coaching du ministre de l’enseignement supérieur (Mary Teuw Niane) depuis le début des concertations jusqu’à sa mise en œuvre. « Il me semble qu’il y a une sorte de précipitation qui ne dit pas son nom, c’est la manière dont cela a été ménagé qui pose problème. Je me demande si les députés étaient de bonne foi au moment du vote, ou c’est une simple ignorance, mais c’est assez bizarre » dit-il.