«Notre base reste déterminée. Nous maintenons notre position en attendant de voir celle du gouvernement. La réunion qui était prévue ce lundi a été reportée jusqu’à mardi après-midi», a déclaré Oumar Wally Zoumaro sur les ondes de la Rfm. Ce dernier, qui est le premier vice-coordonnateur du grand cadre poursuit : « Comme le veut la base, nous exigeons que des réponses claires soient données surtout en ce qui concerne de l’indemnité liée au logement. Nous sommes en phase avec tous les médiateurs qui veulent que la situation soit décrispée. Mais il faudrait que le gouvernement donne des réponses par rapport aux différentes questions qui sont posées, martèle-t-il.
Le syndicaliste, estimant que «le Premier ministre avait atteint ses limites», demande au président de la République de se saisir du dossier : «Aujourd’hui la base reste déterminée. Les enseignants attendent le gouvernement sur la question du logement. Personne ne peut aujourd’hui occulter cette question. Donc il faudrait qu’au-delà de la position du Premier ministre qui a montré ses limites, que le président de la République monte au créneau et donne une réponse favorable aux revendications pour que la situation tende vers la décrispation».
Toutefois le premier vice-coordonnateur affirme que le dernier mot revient à la base : «malgré cela c’est à la base de dire s’il faut arrêter ou s’il faut poursuivre le mouvement. Et je pense que le mardi nous aurons toutes les réponses par rapport à cette question. Le plan d’action avait initialement prévu un débrayage ce mardi à 9 heures suivie d’une grève de 48 heures ce mercredi et ce jeudi».
Le syndicaliste, estimant que «le Premier ministre avait atteint ses limites», demande au président de la République de se saisir du dossier : «Aujourd’hui la base reste déterminée. Les enseignants attendent le gouvernement sur la question du logement. Personne ne peut aujourd’hui occulter cette question. Donc il faudrait qu’au-delà de la position du Premier ministre qui a montré ses limites, que le président de la République monte au créneau et donne une réponse favorable aux revendications pour que la situation tende vers la décrispation».
Toutefois le premier vice-coordonnateur affirme que le dernier mot revient à la base : «malgré cela c’est à la base de dire s’il faut arrêter ou s’il faut poursuivre le mouvement. Et je pense que le mardi nous aurons toutes les réponses par rapport à cette question. Le plan d’action avait initialement prévu un débrayage ce mardi à 9 heures suivie d’une grève de 48 heures ce mercredi et ce jeudi».