A en croire l’Agence de presse sénégalaise (APS), la centrale dirigée par Mody Guiro soutient, dans un communiqué, qu’elle « se réserve le droit, si des solutions ne sont pas trouvées, de décréter une grève générale avec l’ensemble des secteurs qui la composent ».
L’objectif visé est que le pouvoir d’achat des travailleurs déjà fragilisé par les crises répétitives, ne soit plus encore agressé par des hausses récurrentes des prix des denrées et produits de consommation courante’’, explique la même source.
Face à la grève de 48 heures du Syndicat national des travailleurs des transporteurs routiers du Sénégal (SNTTRS/CNTS), la CNTS, quant à elle, dénonce « le mutisme et le mépris du gouvernement » et renouvelle son soutien et sa solidarité « à tous les travailleurs en lutte pour préserver leur outil de travail et pour de meilleures conditions de vie ».
Elle demande au gouvernement « la prise de mesures urgentes et immédiates pour le règlement des revendications des travailleurs des transports routiers afin d’abréger les souffrances des populations très éprouvées par ce mouvement de grève ».
La centrale condamne « l’attitude des autorités consistant à laisser pourrir une situation avant de réagir en signant des accords qui, la plupart du temps ne sont pas respectés ».
Le Syndicat national des travailleurs des transports routiers du Sénégal a inscrit sur sa plate-forme revendicative la cherté du prix des assurances, les tracasseries routières, les délais des vignettes, l’installation par l’Etat de gares routières privées, l’installation d’un centre de visite technique.
A cela s’ajoutent la question du transport de passagers par des cyclomoteurs, le transport clandestin inter urbain et la marginalisation des chauffeurs lors des élections de représentativité.
Les transporteurs dénoncent également « la discrimination dans l’attribution des bus TATA, le mépris du ministère de tutelle sur les difficultés du secteur, l’absence de protection sociale des chauffeurs ».
Un conseil interministériel présidé par le Premier ministre se penche sur cette plateforme depuis mardi matin selon l’Agence de presse sénégalaise (APS).
L’objectif visé est que le pouvoir d’achat des travailleurs déjà fragilisé par les crises répétitives, ne soit plus encore agressé par des hausses récurrentes des prix des denrées et produits de consommation courante’’, explique la même source.
Face à la grève de 48 heures du Syndicat national des travailleurs des transporteurs routiers du Sénégal (SNTTRS/CNTS), la CNTS, quant à elle, dénonce « le mutisme et le mépris du gouvernement » et renouvelle son soutien et sa solidarité « à tous les travailleurs en lutte pour préserver leur outil de travail et pour de meilleures conditions de vie ».
Elle demande au gouvernement « la prise de mesures urgentes et immédiates pour le règlement des revendications des travailleurs des transports routiers afin d’abréger les souffrances des populations très éprouvées par ce mouvement de grève ».
La centrale condamne « l’attitude des autorités consistant à laisser pourrir une situation avant de réagir en signant des accords qui, la plupart du temps ne sont pas respectés ».
Le Syndicat national des travailleurs des transports routiers du Sénégal a inscrit sur sa plate-forme revendicative la cherté du prix des assurances, les tracasseries routières, les délais des vignettes, l’installation par l’Etat de gares routières privées, l’installation d’un centre de visite technique.
A cela s’ajoutent la question du transport de passagers par des cyclomoteurs, le transport clandestin inter urbain et la marginalisation des chauffeurs lors des élections de représentativité.
Les transporteurs dénoncent également « la discrimination dans l’attribution des bus TATA, le mépris du ministère de tutelle sur les difficultés du secteur, l’absence de protection sociale des chauffeurs ».
Un conseil interministériel présidé par le Premier ministre se penche sur cette plateforme depuis mardi matin selon l’Agence de presse sénégalaise (APS).
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