Saourou Sène, Secrétaire général du SAEMS (Syndicat autonome des enseignants du moyen Secondaire) et membre du G7 invite l’Etat du Sénégal à trouver une solution à la crise scolaire s’il est soucieux de l’éducation. Faute de quoi l’année académique sera perturbée. Il précise que leur mot d’ordre a été largement suivi, le mardi 04 février avec le débrayage à qui a eu lieu à 10h.
« Le mot d’ordre est très bien suivi. Vous l’avez vu à partir du débrayage d’hier, à 10 heures suivi des assemblées générales qui sont tenues un peut partout. Le Feed back qui nous est parvenu, montre clairement que le mot d’ordre est suivi. Aujourd’hui, c’est une grève totale. C’est juste pour rappeler au gouvernement l’urgence d’aller vers la concrétisation de ce protocole d’accord qui est signé en avril 2018 », martèle monsieur Sène.
Poursuivant ses propos, le secrétaire général du SAEMS invite l’Etat à régler définitif de ces questions.
« Si l’Etat est suffisamment conscient qu’on ne pourra pas arriver à l’émergence sans un système éducatif de qualité, je pense qu’il n’attendra pas midi quatorze heures, pour aller vers le règlement définitif de ces questions. D’autant plus que ça ne demande pas grand-chose, qu’on arrive à la satisfaction de ces préoccupations signées avec l’Etat. Nous, nous sommes des organisations syndicales. À chaque fois que nous faisons une sortie, nous l’évaluons. Ce que la base et la conduite nous indiqueront et bien entendu, nous allons l’adopter », dit-il.
« Le mot d’ordre est très bien suivi. Vous l’avez vu à partir du débrayage d’hier, à 10 heures suivi des assemblées générales qui sont tenues un peut partout. Le Feed back qui nous est parvenu, montre clairement que le mot d’ordre est suivi. Aujourd’hui, c’est une grève totale. C’est juste pour rappeler au gouvernement l’urgence d’aller vers la concrétisation de ce protocole d’accord qui est signé en avril 2018 », martèle monsieur Sène.
Poursuivant ses propos, le secrétaire général du SAEMS invite l’Etat à régler définitif de ces questions.
« Si l’Etat est suffisamment conscient qu’on ne pourra pas arriver à l’émergence sans un système éducatif de qualité, je pense qu’il n’attendra pas midi quatorze heures, pour aller vers le règlement définitif de ces questions. D’autant plus que ça ne demande pas grand-chose, qu’on arrive à la satisfaction de ces préoccupations signées avec l’Etat. Nous, nous sommes des organisations syndicales. À chaque fois que nous faisons une sortie, nous l’évaluons. Ce que la base et la conduite nous indiqueront et bien entendu, nous allons l’adopter », dit-il.
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