Dr Yankoba Seydi, membre du SAES et porte-parole, a clarifié la position de son organisation, soulignant que la grève se poursuivra au moins jusqu’au mercredi 26 février, bien qu'une rencontre avec les autorités soit prévue ce mardi. Selon lui, un des points clés de cette mobilisation est lié au décret sur la réversion des pensions. Un sujet qu’il estime non-négociable. "Tout est négociable dans les différents points de revendication sauf un point. Ce point-là, il n'est pas négociable", a déclaré Dr Seydi. Il a ajouté que le secrétaire général du SAES et les membres du bureau national ont déjà exprimé clairement que la question de la réversion des pensions ne fera pas l'objet de discussions.
De son côté, Mamadou Lamine Dianté, président du Haut Conseil du Dialogue Social, a exprimé sa déception face à la situation. Il a estimé qu'il est regrettable que des grèves soient décrétées alors que le dialogue entre les parties n’a jamais été rompu.
La situation reste donc tendue, avec des négociations qui devraient se poursuivre dans les jours à venir. Mais la réversion des pensions reste un point de blocage majeur pour les enseignants du supérieur.
De son côté, Mamadou Lamine Dianté, président du Haut Conseil du Dialogue Social, a exprimé sa déception face à la situation. Il a estimé qu'il est regrettable que des grèves soient décrétées alors que le dialogue entre les parties n’a jamais été rompu.
La situation reste donc tendue, avec des négociations qui devraient se poursuivre dans les jours à venir. Mais la réversion des pensions reste un point de blocage majeur pour les enseignants du supérieur.
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