Ce vendredi, l’organisation « Youth for Climate », « la jeunesse pour le climat », organise une grève mondiale. Les jeunes Français, qui étaient jusqu’ici un peu en retard, comptent bien se rattraper.
Un mouvement qui gagne du terrain
A la rentrée scolaire, les étudiants et les lycéens français s'étaient retrouvés autour de luttes plus immédiates, comme la réforme des universités ou l’augmentation des frais de scolarité. Mais désormais, la mobilisation a pris de l’ampleur.
Pour Claire Renauld, étudiante en master de philosophie et porte-parole du mouvement, cette grève est un geste fort, parce que les jeunes d'aujourd'hui représentent la première génération touchée par le changement climatique.
« On veut nous voler notre avenir, dit-elle, et c’est ce qu’on veut dénoncer en faisant grève. Ça ne sert à rien d’aller dans les écoles apprendre un futur qui est en train de se déconstruire sous nos pas. »
Un mouvement qui gagne du terrain
A la rentrée scolaire, les étudiants et les lycéens français s'étaient retrouvés autour de luttes plus immédiates, comme la réforme des universités ou l’augmentation des frais de scolarité. Mais désormais, la mobilisation a pris de l’ampleur.
Pour Claire Renauld, étudiante en master de philosophie et porte-parole du mouvement, cette grève est un geste fort, parce que les jeunes d'aujourd'hui représentent la première génération touchée par le changement climatique.
« On veut nous voler notre avenir, dit-elle, et c’est ce qu’on veut dénoncer en faisant grève. Ça ne sert à rien d’aller dans les écoles apprendre un futur qui est en train de se déconstruire sous nos pas. »