Au lendemain de la reconnaissance officielle par l’état du Sénégal de la présence de la grippe A H1N1 dans le pays, la population reste sereine face à cette épidémie. Aucune crainte n’est constatée dans la ville de Dakar. Les citadins vaquent à leurs activités et ne se soucient même pas de cette maladie présente dans le pays.
«Je ne sens aucune peur et je suis rassuré, car les autorités ont affirmé maitriser la situation. Elles disent avoir pris toutes les dispositions matérielles et humaines pour faire face à cette maladie jusque-là inconnue dans notre pays » tels sont les propos de Abdoulaye Faye, enseignant de profession habitant le quartier résidentiel de Fann.
Sur la même lancée, Demba Diallo, étudiant de 21 ans, inscrit en première année de physique chimie à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) soutient que «la présence de cette maladie à travers le pays est le dernier de ses soucis».
Pour sa part, la dame Aminata Mbaye venue rendre visite à un malade au centre hospitalier de fann interpelle les autorités. Selon elle, «elles doivent prendre leurs responsabilités et trouver des vaccins afin de protéger la population car il n’y a pas de petite maladie même si elle ne tue pas»
Aucun cas n’est noté au niveau du centre hospitalier national universitaire de Fann. Selon le chargé de la communication de la structure, Lamine Faye, ce matin le directeur de la dite structure a tenu une réunion avec les responsables du service des maladies infectieuses pour faire l’état des lieux, mais aucune évolution n’est constatée.
Le responsable du service des maladies infectieuses, le professeur Bernard Marcel Diop avait assisté à la réunion d’hier au niveau du ministère de la santé. Il dirige la cellule pour la gestion de l’épidémie de la grippe H1N1 au sein l’hôpital Fann.
Même constat au niveau de l’hôpital Abbas NDAO où le personnel reste aussi vigilant pour freiner l’expansion de cette épidémie.
«Je ne sens aucune peur et je suis rassuré, car les autorités ont affirmé maitriser la situation. Elles disent avoir pris toutes les dispositions matérielles et humaines pour faire face à cette maladie jusque-là inconnue dans notre pays » tels sont les propos de Abdoulaye Faye, enseignant de profession habitant le quartier résidentiel de Fann.
Sur la même lancée, Demba Diallo, étudiant de 21 ans, inscrit en première année de physique chimie à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) soutient que «la présence de cette maladie à travers le pays est le dernier de ses soucis».
Pour sa part, la dame Aminata Mbaye venue rendre visite à un malade au centre hospitalier de fann interpelle les autorités. Selon elle, «elles doivent prendre leurs responsabilités et trouver des vaccins afin de protéger la population car il n’y a pas de petite maladie même si elle ne tue pas»
Aucun cas n’est noté au niveau du centre hospitalier national universitaire de Fann. Selon le chargé de la communication de la structure, Lamine Faye, ce matin le directeur de la dite structure a tenu une réunion avec les responsables du service des maladies infectieuses pour faire l’état des lieux, mais aucune évolution n’est constatée.
Le responsable du service des maladies infectieuses, le professeur Bernard Marcel Diop avait assisté à la réunion d’hier au niveau du ministère de la santé. Il dirige la cellule pour la gestion de l’épidémie de la grippe H1N1 au sein l’hôpital Fann.
Même constat au niveau de l’hôpital Abbas NDAO où le personnel reste aussi vigilant pour freiner l’expansion de cette épidémie.
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