"Je dis, comme l'ont dit sur place les élus guadeloupéens, qu'ici on a été profondément meurtri du silence méprisant, je les cite, et de l'absence sur le terrain de ceux qui nous gouvernent. Songez qu'aux obsèques de Jacques Bino, il n'y avait pas un seul ministre, et le préfet était absent", a déclaré l'ancienne candidate socialiste à la présidentielle sur France-Info.
"Songez qu'aujourd'hui il n'y a pas un ministre sur place alors qu'il y a des négociations très sensibles qui s'engagent, et qu'il appartient à l'Etat d'imposer une réforme du système de prix", a-t-elle poursuivi.
Et Mme Royal d'insister: "Il faut qu'il y ait un ministre ici. (...) Le rôle du gouvernement c'est d'être là. Les ministres sont payés pour ça, et sont même grassement payés pour ça."
La présidente de Poitou-Charentes a par ailleurs estimé qu'"au fond ce qui se joue ici de façon très exacerbée, c'est aussi ce qui se pose en France, en métropole". AP
Source : AP
"Songez qu'aujourd'hui il n'y a pas un ministre sur place alors qu'il y a des négociations très sensibles qui s'engagent, et qu'il appartient à l'Etat d'imposer une réforme du système de prix", a-t-elle poursuivi.
Et Mme Royal d'insister: "Il faut qu'il y ait un ministre ici. (...) Le rôle du gouvernement c'est d'être là. Les ministres sont payés pour ça, et sont même grassement payés pour ça."
La présidente de Poitou-Charentes a par ailleurs estimé qu'"au fond ce qui se joue ici de façon très exacerbée, c'est aussi ce qui se pose en France, en métropole". AP
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