En effet, selon Habib SY dans cette affaire : «Au-delà de la personne d’Aliou Sall, il y a la personne du président Sall, c’est le plus important. Et pour comprendre le discours de Wade, il faut remonter le temps, aller même jusqu’en 1974, à l’époque de la création du PDS (Parti Démocratique Sénégalais), Wade lui-même raconte que «Senghor après lui avoir donné sa bénédiction, se permettait de voyager à travers le monde et ses homologues Africains l’interrogeaient. Mais, président vous êtes en train de faire le tour du monde, alors qu’il y a des coups d’Etat partout en Afrique.
La réponse de Senghor: "au Sénégal, Wade est en train de gérer le mécontentement"». Revenant dans le présent, l’ancien maire de Linguère de décortiquer le discours de Wade qui, en son sens, «devrait être écouté très franchement compte tenu de son envergure, de son expérience ». Et « contrairement à ce que disent certaines personnes », Habib SY ne «croit pas que ce soit des menaces à l’endroit du président Macky Sall. Wade alerte, il avertit donc il devrait être écouté et le pouvoir devrait faire d’avantage d’efforts pour le comprendre».
« Parce que », prévient-il à son tour, «ce qui est dangereux, actuellement, le conflit est en train de s’internationaliser partout où ira le président Sall, il sera interpellé sur l’affaire Arcelor Mittal, sur Petro-Team, etc. Et ce n’est pas bon pour notre pays ». Toutefois, tempère le responsable libéral : «Le dialogue politique est toujours possible ». A ce propos, «c’est au président de comprendre que Wade n’a rien à perdre ». Tandis que «lui, il a tout à perdre ». Ainsi, le président Sall doit agir «pour qu’on arrive à un apaisement ». Ce, pourquoi pas, «par des personnes interposées ». « Le Président Abdou Diouf quand même, devrait pouvoir jouer un rôle, s’il n’a pas de ressentiment à l’égard de Wade », préconise-t-il sur les ondes de la Rfm.
La réponse de Senghor: "au Sénégal, Wade est en train de gérer le mécontentement"». Revenant dans le présent, l’ancien maire de Linguère de décortiquer le discours de Wade qui, en son sens, «devrait être écouté très franchement compte tenu de son envergure, de son expérience ». Et « contrairement à ce que disent certaines personnes », Habib SY ne «croit pas que ce soit des menaces à l’endroit du président Macky Sall. Wade alerte, il avertit donc il devrait être écouté et le pouvoir devrait faire d’avantage d’efforts pour le comprendre».
« Parce que », prévient-il à son tour, «ce qui est dangereux, actuellement, le conflit est en train de s’internationaliser partout où ira le président Sall, il sera interpellé sur l’affaire Arcelor Mittal, sur Petro-Team, etc. Et ce n’est pas bon pour notre pays ». Toutefois, tempère le responsable libéral : «Le dialogue politique est toujours possible ». A ce propos, «c’est au président de comprendre que Wade n’a rien à perdre ». Tandis que «lui, il a tout à perdre ». Ainsi, le président Sall doit agir «pour qu’on arrive à un apaisement ». Ce, pourquoi pas, «par des personnes interposées ». « Le Président Abdou Diouf quand même, devrait pouvoir jouer un rôle, s’il n’a pas de ressentiment à l’égard de Wade », préconise-t-il sur les ondes de la Rfm.