Les fortes pluies qui s’abattent sur Bissau ces derniers temps ont provoqué la montée des eaux dans le lac de Nbatonha. Conséquence : les crocodiles sortent et se baladent dans les rues avoisinantes et constituent un danger, surtout pour les enfants qui jouent aux abords du lac. La présence régulière de crocodiles sauvages en plein centre-ville commence à inquiéter les habitants de la capitale.
Il a plu des cordes ces derniers temps à Bissau et le niveau d’eau du lac Nbatonha est très haut. Du coup, les crocodiles qui y ont élu domicile sortent régulièrement de leur gîte.
Mario est artisan et travaille tout près du lac. Il est inquiet pour les enfants. « C’est un risque de laisser ces reptiles en plein centre-ville, dit-il. S’ils sont affamés, ils peuvent attaquer des enfants qui jouent tout près du lac. C’est là ma crainte. »
En 2014, le maire de Bissau a entrepris des travaux de réhabilitation du lac grâce à un financement de l’Union européenne. Mais la crise politique que traverse le pays a mis fin à l’initiative. Et les travaux se sont arrêtés faute de financement. Conséquence, le lac est envahi par de hautes herbes et d’autres espèces de plantes aquatiques sauvages. Les crocodiles s’y sont alors multipliés.
Mais pour certains habitants de Bissau, un sorcier peut se transformer en crocodile et attaquer la personne qu’il peut tuer.
Mbana y croit fermement : « Un crocodile normal comme ceux qui vivent dans ce lac ne mangent pas la chair humaine. Mais un sorcier peut se transformer en crocodile et s’attaquer aux enfants », affirme-il.
Pour l’instant aucune mesure particulière n’est encore prise. La mairie de Bissau veut faire de cet endroit un lieu de détente. Le maire veut introduire des espèces végétales locales tout autour du lac et faire de cet endroit un espace de protection écologique.
Il a plu des cordes ces derniers temps à Bissau et le niveau d’eau du lac Nbatonha est très haut. Du coup, les crocodiles qui y ont élu domicile sortent régulièrement de leur gîte.
Mario est artisan et travaille tout près du lac. Il est inquiet pour les enfants. « C’est un risque de laisser ces reptiles en plein centre-ville, dit-il. S’ils sont affamés, ils peuvent attaquer des enfants qui jouent tout près du lac. C’est là ma crainte. »
En 2014, le maire de Bissau a entrepris des travaux de réhabilitation du lac grâce à un financement de l’Union européenne. Mais la crise politique que traverse le pays a mis fin à l’initiative. Et les travaux se sont arrêtés faute de financement. Conséquence, le lac est envahi par de hautes herbes et d’autres espèces de plantes aquatiques sauvages. Les crocodiles s’y sont alors multipliés.
Mais pour certains habitants de Bissau, un sorcier peut se transformer en crocodile et attaquer la personne qu’il peut tuer.
Mbana y croit fermement : « Un crocodile normal comme ceux qui vivent dans ce lac ne mangent pas la chair humaine. Mais un sorcier peut se transformer en crocodile et s’attaquer aux enfants », affirme-il.
Pour l’instant aucune mesure particulière n’est encore prise. La mairie de Bissau veut faire de cet endroit un lieu de détente. Le maire veut introduire des espèces végétales locales tout autour du lac et faire de cet endroit un espace de protection écologique.